Seven ferme ses portes définitivement, Seven Temptation ouvre les siennes ! ICI
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Partagez
 

 M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ghost
Messages : 64
Localisation : Surtout là où l'on ne veut pas de moi !
Date d'inscription : 02/11/2013
Emma Mayfair
Emma Mayfair

Ghost
MessageSujet: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeSam 2 Nov - 12:45

ID CARD
Nom : Black
Prénom : Emma
Sang : Moldue
Âge : 39 ans
Nationalité : britannique
Métier : vit de l'héritage laissé par son défunt époux
Statut : veuve
Orientation sexuelle : hétérosexuelle

Célébrité : Angelina Jolie
CARACTERE
Dix adjectifs minimum.
Froide - Manipulatrice - Cruelle - Perverse - Bipolarité plus qu'avérée - Obsessionnelle - Protectrice envers ses fils - Rancunière - Opiniâtre - Perfectionniste - Pragmatique - Réfléchie -
HISTOIRE
Cinq cent mots minimum.


Le soleil d'automne vint éclairer ces prunelles de jade qui couvaient du regard ces deux adolescents qui s'amusaient dans le parc de la demeure qui les avaient vu naître. La femme délaissa la rambarde de pierre sculptées qui cernaient la terrasse pour s'en aller rejoindre le salon de jardin. Prenant place dans l'un des confortables fauteuils en bois exotique précieux elle se servit une énième flûte de champagne et laissa son attention dériver au gré de la danse de ces bulles d'air qui semblaient soudainement la fasciner. Emma soupira. La tristesse et la mélancolie laissaient doucement la place à l'une de ces colères qu'elle ne parvenait que difficilement à endiguer. Quand elle ne décidait pas d'y céder, appréciant cette sorte d'ivresse qui l'envahissait alors. Ses doigts se crispèrent sur le pied de cette flûte qui finit par se briser. Des éclats vinrent lacérer ses doigts d'albâtre tandis que son sang perlait. Cela lui faisait mal, tout juste un picotement qui tiraillait sa peau mais ne parvenait toujours pas à la soulager. Il lui en fallait plus. Il lui fallait un exutoire ! Rentrant dans l'immense demeure héritée de son défunt époux elle se dirigea vers le bureau de celui-ci. C'était la seule pièce où elle sentait ses tensions s'évanouirent quelque peu. Ce n'était que momentané mais cela lui faisait du bien. Ses yeux errèrent un instant sur ce mobilier familier où, lorsqu'elle fermait les yeux, elle avait l'impression de pouvoir sentir sa présence, Elle le revoyait plongé dans ses dossiers derrière ce même bureau où elle prenait maintenant place. Emma se souvenait de ce petit air qu'il avait lorsque, la sentant se tenir dans l'encadrement de la porte, il levait son nez de son travail. Alors il soupirait, prenant l'air faussement agacé d'avoir été ainsi dérangé et se levait pour mieux venir la rejoindre et l'embrasser langoureusement. Du moins était-ce ainsi qu'elle aimait à se rappeler de ce qu'avait pu être son couple. Mais cela faisait bien longtemps que, dans l'esprit d'Emma, les souvenirs réels et les fantasmes dus à sa bipolarité avérée, se bousculaient, se chevauchaient au point souvent de se confondre. Et la réalité, la seule et l'unique, demeurait enfouie dans les tréfonds de son âme. La vie d'Emma était un terrifiant et bien lourd secret. Même pour elle.

A sa naissance, rien ne semblait destiner la petite Emma Meyers à la vie qui serait la sienne près de trois décennies plus tard. Née dans une famille des plus modestes elle était la troisième enfant d'une famille qui en compterait quatre en tout et pour tout. Avant elle deux garçons étaient déjà nés. Le premier, Andrew, était comme se doit de l'être tout héritier, le portrait craché de son père : Thomas Meyer. Les cheveux châtains, le teint pâle et les yeux verts. Une parfaite réussite. Le suivant, Terry, ressemblait, lui, comme deux gouttes d'eau à sa mère. Roux et des tâches de son qui constellaient son visage où scintillaient deux yeux verts. Les parents étaient ravis et semblaient déjà se réjouissaient déjà de ce troisième enfant qui s'annonçait. Un troisième fils sans aucuns doutes. La désillusion fut grande quand Emma pointa le bout de son nez lors d'une froide nuit d'hiver. La délivrance fut longue et des plus douloureuses pour cette mère aimante qui, pourtant, en venait déjà à nourrir une rancoeur tenace et un désamour total pour cette enfant qui lui faisait endurer pire que la mort elle-même. Ainsi le destin de la petite Emma commençait à s'esquisser dans des tonalités de gris, un jeu subtilement effrayant d'ombres et de lumières où elle finirait par se perdre. Certains êtres naissent avec le mal profondément ancré en eux. Pas elle. Chez Emma tout n'avait été qu'un long parcours initiatique où la douleur et la souffrance qu'on lui avait infligées étaient telles que son esprit adopta la seule solution possible pour survivre. Et, lentement, au fil des ans et des brimades, la victime s'estomperait pour laisser place à la plus sadique et cruelle des femmes qui soient. Chez Emma le mal n'était pas inné, il était acquis. Le Mal était une maladie, hélas incurable.

L'enfance et l'adolescence d'Emma ne furent qu'une très longue succession d'épisodes réellement douloureux où la flamme de bonté et d'humanité en elle commença à vaciller dangereusement. Pourtant la jeune fille avait réellement tout fait pour parvenir à attirer sur elle un regard empli de cette attention qu'on lui refusait avec une violence inouïe. Elle ne comprenait pas, souffrait de ce mépris et de cette indifférence que sa famille toute entière lui portait. Emma aurait presque aimé pouvoir pensé que seul son sexe en était la cause mais il n'en était rien. Et elle le savait. C'était elle, ce qu'elle était qui déplaisait toujours. Ou, plus précisément, ne parvenait jamais à plaire, à séduire. Lorsque, en classe, ses excellents résultats lui valaient les louanges de ses professeurs ses parents, eux, n'y voyaient qu'une aussi pâle que vaine tentative de sa part d'égaler avec les exceptionnels résultats de ses frères. Quand elle avait réussi à surmonter sa timidité pour décrocher le rôle principal dans la pièce de l'école aucun des siens n'était venu la voir et l'applaudir. Et lorsqu'elle avait eu son portrait dans la presse locale pour son talent de comédienne ses parents n'y avaient pas même jeté un coup d'oeil. Mais comment auraient-ils pu lui accorder cet amour qu'elle recherchait avec la force du désespoir eux qui n'avaient d'yeux que pour les minables exploits sportifs de ses frères !

Et, déjà, son cœur s'endurcissait, son mental tanguait et menaçait de sombrer dans cette colère et cette frustration qui ne la quitteraient plus jamais ensuite. Elle qui était à l'époque une jeune fille ravissante et pleine d'élan et d'entrain... Elle qui ne voulait que parvenir à se faire une place dans cette famille qui ne la considérait que comme un fardeau , une erreur qu'ils peinaient même à seulement regarder... Elle qui ne voulait qu'aimer et être aimée en retour. Emma leur avait tout donné, tout offert ! Et ils avaient broyés ces si précieux présents en une poussière sale et crasseuse. Emma voulait leur amour mais ils l'avaient détruite. Mais elle avait changé, appris à endurer sans même ciller ces réflexions hautaines et cruelles qu'on lui adressait, se surprenant même de sa présence à table. Aujourd'hui elle était une autre. Ou, plutôt, elle était devenue double. Il y avait la jeune femme lumineuse qui brillait dans une société qui, elle, l'acceptait et il y avait cette autre, cette créature presque fantomatique qui, le soir venu et dans le secret de sa petite chambre, laissait exploser sa rage et sa fureur. Emma pleurait, hurlait dans cet oreiller qu'elle martyrisait ensuite comme pour mieux le punir d'avoir été témoin de ce qui se révélerait plus tard être les premiers symptômes de sa maladie. Oui, déjà Emma était perdue. Mais il lui faudrait le plus radieux ses soleils pour que son destin ne se scelle et n'achève de la plonger dans un enfer dont elle ne ressortirait jamais. Ce soleil avait un nom. Un nom qu'aujourd'hui encore elle murmure et appelle la nuit. William. William Black.

William avait été le premier à réellement la regarder, à la voir tout simplement. Elle qui possédait pourtant tous les atouts et atours pour faire se pâmer à ses pieds des hommes qui n'auraient, d'ailleurs, pas demandé mieux. Mais Emma n'était qu'une ombre et elle n'imaginait pas même qu'on puisse la voir autrement. Ce fut lui, cet homme, qui lui ouvrit les yeux sur ce qu'elle était. Lorsqu'il l'avait abordée le cœur d'Emma avait cru exploser et ce avant même qu'elle ne lève les yeux vers ce séduisant jeune homme à la chevelure blonde et au regard rieur qui la regardait. Pensant qu'il devait s'adresser à une autre la jeune femme s'était retournée et n'avait aperçu que la foule habituelle des badauds. Le bruissement de la vie autour d'eux n'avait été à ses oreilles qu'un simple ronronnement quand la voix de cet inconnu s'était échappée de ces lèvres capables de lui offrir le plus ravageur des sourires. On lui parlait, à elle ? Il lui fallut plusieurs minutes et à lui bien des fois se répéter avant qu'elle ne réalise en rougissant que, oui, c'était bien à elle qu'il parlait et toujours avec elle qu'il souhaitait prendre un café.

Ce jour là et tous ceux qui suivirent Emma crut renaître, redécouvrant des plaisirs qui lui avaient toujours été interdits. Auprès de William elle se surprit à sourire, frissonnant en entendant son propre rire s'élever dans un air qu'elle trouvait soudainement plus léger que jamais, empli d'une pureté incroyable. Quand ils se baladaient, innocents et simplement heureux de profiter de la présence de l'autre, la jeune femme se sentait heureuse. Et même le retour dans cette maison et cette famille qu'elle refusait obstinément de présenter au jeune homme, oui même cela lui apparaissait soudainement bien supportable. Peu importait bien les vexations et les frustrations, Emma était déjà ailleurs. Auprès de celui qui, dès le premier instant et jusqu'au dernier souffle, restera son sauveur. Celui qui l'aura sauvée d'une existence d'ombre pour la projeter dans la splendeur lumineuse de son existence. William et Emma s'étaient rencontrés par hasard et, même si ce dernier leur réservait les plus perfides des revers, ils ne se quitteraient jamais réellement. Emma ne le permettrait jamais. William était devenu son souffle et, sans lui, elle n'existerait plus. Sans lui elle redeviendrait cette ombre qui demeurait toujours en son sein, assoupie et guettant le moindre moment de faiblesse pour mieux renaître. Emma et William s'aimaient. Et cela ne devrait jamais changer. Emma se l'était juré et, chez elle, la parole était quelque chose à ne surtout pas prendre à la légère. Rien, ni personne, ne viendrait jamais gâcher ce bonheur si parfait qui était le sien le jour où, sans même que sa famille en ait été avertie, elle devint Mrs William Black. Non, rien ni personne !

Tout avait changé dans sa vie et Emma ne parvenait pas toujours à croire à ce bonheur qui était le sien. Même lorsque son époux adoré et elle s'endormaient tendrement enlacés dans ce lit qui était le leur le doute venait la ronger. Non, cela ne pouvait être vrai. Tout était bien trop beau pour être réel ! Pendant des heures elle demeurait ainsi étendue, son regard de biche venant caresser du bout des cils cet homme si paisiblement endormi. Elle songeait alors à ce tournant, plus que radical, que sa vie avait prise depuis leur rencontre. Sa famille, ces mêmes personnes qui l'avaient tant fait souffrir qu'elle en gardait encore les plus douloureuses et amères des séquelles, elle ne les avait jamais revus ni même recontactés. Pourquoi l'aurait-elle fait ? Ils avaient voulu la réduire à l'état d'ombre ? Aujourd'hui c'étaient eux les ombres ! Et à aucun moment Emma ne regretterait de les avoir abandonnés, tous, à leur si minable et pathétique petite existence d'insignifiants petits Moldus.

Car, oui, Emma avait pris connaissance de ce monde magique qui avait vu naître William et qui ne cessait d'éveiller en elle les plus étranges, et parfois bien conflictuelles, des émotions. La peur et l'incompréhension l'avaient d'abord assaillie puis le temps de la curiosité était venu. Et William, ne connaissant que trop bien la triste histoire de son épouse, n'avait pas ménagé ses efforts pour faire de la vie d'Emma un conte empli d'une magie qu'il ne voulait que plus merveilleuse pour elle et rien que pour elle. Bien qu'il eut tenté d'apaiser les rancoeurs de sa femme William avait fini par renoncer quand, lassée de devoir se justifier ou de se cacher, elle avait fini par lui confier l'horreur qu'avait été sa vie avant lui. Alors il lui avait fait la promesse solennelle de ne jamais la blesser et de toujours, jusqu'à ce que la mort ne les sépare, de veiller sur elle et de faire de sa vie un songe éveillée. Et il avait tenu parole. Du moins jusqu'à elle. Elle, cette femme dont Emma ne prononcerait jamais le nom qu'avec dédain et mépris ! Cette épine à la rose de son bonheur. Cette Catelyn Prewett qui, sous ses airs de petite poupée délurée et aguicheuse, avait réussi à s'immiscer au sein de ce couple qu'elle pensait inébranlable ! Le château de son bonheur s'effritait et l'ombre en elle se réjouissait. Catelyn ferait le malheur d'Emma mais ferait le bonheur de cette maladie insidieuse qui, déjà, se propageait de la plus irrémédiable des façons en la jeune épouse.

Pendant longtemps Emma s'était demandé ce qui avait bien pu se passer pour que son époux s'éloigne d'elle au point de tomber dans les filets de Catelyn. Mais, cette réponse qui s'imposait à elle à chaque fois, la rendait ivre d'une colère telle qu'elle refusa tout d'abord de l'accepter. William et elle étaient heureux, elle le savait. Il l'aimait et elle le lui rendait bien. Avec sincérité et passion. Pourtant une ombre demeurait au tableau, une ombre qui planait sur leur couple comme la pire des épées de Damoclès. Leur couche ne donnait pas naissance à cet héritier que la femme aurait tant aimé offrir à l'homme de sa vie, de ses rêves. Elle le savait, le lisait au fond de ses yeux à chaque fois qu'ils abordaient le sujet : William rêvait d'un enfant ! Et Emma, malgré tous ses efforts, ne parvenait pas à le lui offrir. Ce qui la rendait folle. Véritablement folle. Elle souriait encore, demeurait cette vestale superbe et si bien élevée devant laquelle tout le monde ployait pour mieux plier. Mais, en son esprit tourmenté, la fêlure renaissait, plus grande et dangereuse qu'avant. Emma,malgré tout ce qu'elle pouvait bien en dire, n'avait jamais réellement oublié d'où elle venait. Cette famille qui n'en était pas une et qui lui avait donné le désir de fonder la sienne dès qu'elle le pourrait. Cette quasi misère qu'elle ne voulait plus jamais connaître et d'où William l'avait arrachée pour mieux la faire entrer dans son univers où tout n'était que luxe et opulence. Si sa rencontre avec le séduisant sorcier lui avait fait découvrir l'amour cela lui avait aussi donné le goût sulfureux de l'ambition. Emma l'avait toujours été mais, jusqu'à William, elle n'avait jamais eu l'occasion de laisser libre cours à cette autre partie d'elle-même. A cette époque de sa vie, alors que les plus folles de ses ambitions semblaient avoir été assouvies voilà que ce désir d'enfant lui était violemment projeté à la figure, la mettant face à ce qu'elle ne tolérait pas et ne tolérerait jamais : l'échec. Emma n'aimait pas perdre et la suite des événements allaient le prouver !

La liaison de son époux avec Catelyn, bien que suffisamment discrète pour qu'elle n'ait pas à en souffrir en société, la rongeait, la dévorait de l'intérieur. Elle n'en souffla pourtant jamais le moindre mot à son époux. Parce qu'elle était suffisamment brillante pour ne pas laisser sa jalousie, pourtant féroce, venir porter à son couple ce qu'elle devinait être le coup de grâce. Non, Emma rongeait son frein, redoublant d'ardeur à séduire cet homme qui était son tout et qui lui échappait dangereusement au fil des jours. Il y eut ces soirs où il rentrait tard du travail, prétextant réunion et rendez-vous tardifs. Puis il ne rentra plus du tout. Elle, continuait à faire bonne figure mais, déjà, le monstre en elle s'éveillait. Et lorsque William n'était pas là, sûrement en train de se vautrer dans les draps de sa maîtresse, elle fulminait. Et son époux, bien que ne disant jamais rien, dut remplacer plus d'une fois ce mobilier et ces bibelots hors de prix que l'ire de sa femme avait réduit à néant. A un moment Emma crut avoir gagné, elle crut même sincèrement que William lui était revenu. Peut-être celui-ci avait-il eut comme un sursaut de conscience ou un retour de flamme ? Peut-être s'était-il finalement lassé de cette jeunette qu'Emma aurait aimé voir périr en la seconde ! A vrai dire l'épouse Black s'en fichait éperdument ! Son mari lui était revenu et voilà bien tout ce qui lui importait. Mais cela ne dura pas. Et la nouvelle cinglante et glaciale tomba des lèvres même de son époux. Catelyn était enceinte. Et, lui, entendait vivre auprès de celle qui lui donnerait cet héritier dont elle rêvait depuis si longtemps ! Le monde d'Emma s'écroula. Mais pas pour longtemps cependant. Car Emma était devenu un monstre et, celui-ci, n'entendait certainement pas renoncer aussi facilement !

Il n'y avait rien au monde que la femme forgée dans l'airain qu'était devenue Emma ne pouvait accomplir. Et si la nature et sa volonté ne suffisaient pas à lui donner la seule chose qui pourrait lui permettre de contrer la grossesse de Catelyn, alors la magie et l'argent y parviendraient ! Après tout sa position sociale, la fortune de cet époux en train de s'éloigner et toutes ces relations qu'elle avait pris grand soin de nouer devaient bien servir, non ? Et quelle plus juste cause que la sienne ? Bien sur la calculatrice ne présenta pas les choses ainsi. Elle accepta de feindre de fendiller sa si solide carapace, jouant les femmes éplorées qui se mourraient de ne pouvoir tomber enceinte. Et cela fut si surprenant de sa part que les gens s'émurent en effet. Et tous les médecins qu'elle vit à cette époque se plièrent en quatre pour pouvoir offrir à cette femme, cet enfant qu'elle désirait tellement ! Et ce fut donc lors d'un dîner qui se devait être celui des adieux que la jeune épouse bafouée s'arrangea pour recevoir le fameux hibou qui apprit à son époux la bonne, si bonne nouvelle : il allait être père. Non pas de celle qui ne serait jamais qu'une maîtresse mais de celle qui était, aux yeux de tous et de  Dieu aussi, son épouse légitime. Lorsque William, après un silence qui lui coupa son souffle à elle se leva de table et vint vers elle pour la prendre dans ses bras et l'embrasser comme il l'avait fait le jour de leur rencontre, Emma rayonna. Et, en son for intérieur, elle avait jubilé. Peu importait bien maintenant l'arrivée de celui qui ne serait jamais qu'un vulgaire bâtard ! Elle donnerait un fils à son époux, un véritable héritier, lui !

Alexander Black -rien que le fait qu'elle ait osé affubler son bâtard de fils ainsi plongeait Emma dans une rage folle ! - naquit peu avant son propre fils, Jonathan. William se retrouvait donc deux fois père.  Et Emma, elle, dut aire face à une nouvelle déconvenue. Elle qui avait, naïvement il est vrai, pensé que l'arrivée d'un Black légitime, évincerait à jamais de leur vie, et encore plus de la sienne, ce qui était une erreur , du affronter la réalité. Cela ne changea rien ou si peu. William lui était certes revenu mais ce n'était qu'apparences. Présent pour elle et leur enfant il l'était tout autant pour cette autre famille qu'il avait commis l'erreur de fonder en parallèle. Et, toutes les deux semaines, Emma devait se museler, se composer le plus impassible des personnages, pour accueillir sous son toit cet enfant qui tenait déjà tellement de son père. La même chevelure pâle, les mêmes yeux...  Deux jours pendant lesquels elle endurait, ne disant rien et reportant toute son affection sur son fils aux cheveux de corbeau, lui. Deux très longs jours pendant lesquels elle endurait le plus indicible des enfers, s'occupant et faisant si bien mine d'aimer ce bâtard devant lequel son époux fondait littéralement. Emma partageait son époux et cela ne lui plaisait pas le moins du monde. Et cet état de fait acheva de la perdre. Dès lors l'esprit, déjà tourmenté de la femme, sombra dans des tréfonds d'une maladie qu'elle connaissait mais qu'elle ne chercha jamais à soigner. Pourquoi ? Simplement parce que c'était cette maladie qui, étrangement, lui permettait de tenir et de faire face à cette situation où était, encore et toujours, la femme trompée. C'était grâce à ces moments où ses nerfs la lâchaient, rompaient sous le poids de la pression, de la tristesse ou de la colère qu'elle se sentait mieux, parvenait à évacuer, ne serait-ce que pour quelques heures, ce malaise et ce malheur qui étaient les siens depuis que cette pétasse de Catelyn s'était imposée dans sa galaxie. Oui, Emma se savait malade mais elle aimait, chérissait son mal, entendant bien ne jamais en guérir.  

Emma souffrait de cette situation qu'elle ne pouvait pas imaginer pire. Bien qu'elle se trompait et, lourdement qui plus est ! Savoir que son époux adoré avait une liaison avec une femme qu'il ne quitta jamais et encore moins depuis qu'elle lui avait donné son premier enfant, cela était une chose déjà bien pénible. Mais ce ne fut rien en comparaison de ce jour où la terre s'ouvrit sous elle et l'engloutit dans des entrailles de lave en fusion. Ce jour où son cœur bondit de joie en son sein à l'annonce de la mort de sa rivale. Catelyn était morte ! Halleluja ! Mais la liesse ne fut que de bien courte durée. Déjà William venait tout gâcher en entamant les démarches qui ferait de son bâtard un fils Black à part entière. Emma manqua de s'étrangler, de défaillir, de mourir... Oui, elle crut mourir le jour où, alors que cet adorable bambin qu'elle regardait de bien haut, arriva chez eux. Non pas pour le weekend, non, mais de façon plus que durable. William avait reconnu Alexander et, sa mère morte, il entendait bien le voir vivre auprès de lui. Emma ne le contredit pas mais elle eut le plus grand des mal à ne pas livrer le fond de sa pensée ! Elle avait été trompée, humiliée par cette liaison et la naissance impie et impure qui en avait découlé et, aujourd'hui, elle devait accueillir sous le même toit que ses fils adorés, cet enfant qu'elle nommait devant son époux un adorable enfant pour mieux le qualifier par derrière de sale petit bâtard qui ne perdait rien pour attendre. Alexander Black avait perdu sa mère. Il n'avait que quatre ans et était l'innocence même. Lorsqu'il arriva aux bras de son père dans cette somptueuse demeure qui serait dorénavant la sienne peut-être même s'était-il imaginé pouvoir trouver un foyer, une famille. Peut-être bien en effet. Mais il se trompait lourdement. Et dans ce baiser chaste et presque maternel qu'elle lui offrit ce jour là Emma se jura de lui offrir, le plus infernal des Enfers. Et Emma était une femme qui tenait toujours ses promesses.

Et elle prit le plus grand des plaisirs à tenir sa parole tacite. Et quand bien même elle aurait voulu faire un effort, faire preuve de cette magnanimité dont elle ignorait volontairement le sens, il lui aurait suffit de voir la façon dont William regardait son fils pour faire renaître ses velléités de cruauté. Cette façon, écoeurante et dégoûtante qu'il avait de ne pas faire la moindre différence entre ce bâtard et ses autres fils ! Cette manière qu'il avait de choyer, parfois même privilégier, Alexander aux dépends de Jonathan et Garett ! Emma en était malade, redoublant d'affection pour ses enfants qu'elle aimait sincèrement tant ils symbolisaient sa réussite. Sur son enfance qui n'avait été que douleur et rejet. Sur sa vie qui était un rêve qu'une salope avait voulu transformer en cauchemar. Sur cet enfant qu'elle prenait plaisir à martyriser dès que son père était absent. Et, en matière de cruauté mentale et physique, Emma avait la plus redoutable des imaginations. Cet enfant que tous trouvaient innocent était fautif ! Il portait et porterait à jamais les stigmates de cet amour honteux et hors la loi que son père et sa mère s'étaient voués jusqu'à leur dernier souffle. Les parents étaient les coupables mais Catelyn était morte avant de pouvoir payer l'addition et Emma ne pourrait jamais faire quoique ce soit contre cet homme qu'elle aimait toujours, idolatrait plus encore peut-être même. Alors leur bâtard payait. Toujours et de la plus lourde des façons. Emma n'arrêtait jamais, redoublant d'imagination et de perversité dans sa tentative de destruction pure et simple de l'enfant. Alexander … Elle le maudissait, le honnissait et rien que le fait de le voir grandir et ressembler un peu plus chaque jour à son père suffisait à Emma pour justifier toutes ces insultes et ces coups qu'elle ne cessait de faire pleuvoir sur lui ! Un fer à repasser tombé maladroitement, un enfant trop chahuteur qui tombait souvent et se blessait... Une bagarre fraternelle un peu violente. Elle ne manquait jamais d'excuses pour expliquer ces bleus et ces plaies hideuses qui marquaient si souvent le corps juvénile du petit. Alexander été né de l'amour mais il était devenu l'enfant de la haine et du rejet. Un enfant martyr qui n'oublierait sans doutes jamais ce que Emma lui avait fait endurer pendant des années qui durent lui paraître bien longues. Pauvre Alexander...

Les coups cessèrent pourtant un jour. Celui où la magie coulant dans les veines d'Alexander s'éveilla. Emma eut peut-être peur... Ou peut-être avait-elle trouvé une autre façon de faire de son existence un enfer ? Elle-même ne connaissait pas la réponse. Ou peut-être que cet enfant sur le point de devenir adolescent et qui était déjà le portrait craché de son père, éveillait en elle des sentiments encore plus troubles et inappropriés que cette colère et cette haine qu'elle lui avait toujours portée … Peut-être bien en effet. Mais il fallut que le cœur d'Emma explose devant l'injustice de cette maladie, de cette tumeur cérébrale qui emporta bien trop vite son William pour qu'elle ne le réalise pleinement. C'était cet été, mais pour elle c'était aujourd'hui et ce serait demain aussi. Sa vie n'avait plus de sens si ce n'était pour ses deux fils qui la soutinrent alors qu'elle versait des larmes sincères à la mise en terre de son époux. La magie était puissante mais elle ne pouvait sauver son amour. La maladie avait vaincu Emma, ne lui laissant qu'un vide béant qu'elle savait ne jamais pouvoir combler. A moins que... Alexander avait dix-sept ans et était devenu un jeune homme aussi séduisant qu'infernal. La langue toujours trop bien pendue et comme toujours enduite de fiel, une arrogance qui donnait à la veuve de furieuses envies de lui arracher la langue et les yeux... Elle ne le supportait plus ! La simple vue de ce bâtard lui donnait la nausée, la ramenant toujours à cet autre, à cet homme qui avait été son tout et qui n'était plus. La colère en elle était à son point culminant et la femme se devait de mettre à la porte de chez elle ce tout jeune homme dont l'existence même était une insulte pour Emma. Pourtant... Pourtant alors qu'après une énième dispute entre eux elle allait le jeter hors de chez elle la veuve sentit naître en elle un trouble qu'elle ne s'explique toujours pas. Une vague étrange qui déferla sur elle et la submergea lui faisant franchir une frontière ultime et tabou. Elle était sa belle-mère, la seule parente qui lui restait désormais. Mais ce fut pourtant la femme éplorée mais néanmoins ardente qui arracha au jeune homme ce bien impudique baiser avant qu'il ne s'éloigne. Emma avait embrassé l'objet de sa haine et de sa frustration. Non, elle avait embrassé celui qui ressemblait trop à William pour qu'elle ne puisse le voir ni s'en émouvoir. A partir de ce jour là un autre dilemme se posa à elle. Pouvait-on détruire ce que l'on désirait de la plus malsaine et perverse des façons ? Ou pouvait-on désirer ce qui était aussi l'objet de sa haine la plus pure ? Deux façons de voir les choses, une seule réponse. Emma désirait Alexander et elle ferait tout pour revivre avec lui ce qu'elle avait perdu en perdant William. Par amour ? Non. L'avoir pour mieux le détruire. L'amour, Emma n'en était plus capable. Sauf pour ses fils mais aucun homme ne pourrait plus jamais gagner son cœur. Celui-ci reposait, six pieds sous terre auprès du seul qu'elle ait jamais aimé : William.


BEHIND THE SCREEN
Pseudo : Devinez donc M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2083733595
Âge : Majeure je le jure Angel
Comment avez vous connu le forum : A votre avis xD
Un dernier mot : Je suis d'une faiblesse consternante mais bon... Lex ? Je t'aime trop toi xD M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139


Dernière édition par Emma Black le Mer 6 Nov - 11:46, édité 10 fois
Revenir en haut Aller en bas
Je suis le mal, ne cherches pas le bien.
Messages : 316
Localisation : Dans mon bureau ou un bar.
Date d'inscription : 31/05/2013
L - Lucan V. Thorne
L - Lucan V. Thorne

Je suis le mal, ne cherches pas le bien.
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeSam 2 Nov - 14:01

Bienvenue belle jeune femme M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3002807211 
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeSam 2 Nov - 14:14

Bienvenue M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139
Revenir en haut Aller en bas
Mon amour est vénéneux
Messages : 159
Localisation : Dans un lit
Date d'inscription : 18/08/2013
Aeris L. Thorne
Aeris L. Thorne

Mon amour est vénéneux
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeSam 2 Nov - 14:16

Lulu cesse de baver vilain frérot M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2517296436

Merci les zamours en tous cas M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeSam 2 Nov - 15:13

Bienvenue de nouveau x) Je vais finir par me lasser de te le dire, à force M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3415185983
M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139
Revenir en haut Aller en bas
Sinner
Messages : 377
Localisation : Dans les ténèbres d'un avions bizarre
Date d'inscription : 07/10/2013
Alexander Black Mayfair
Alexander Black Mayfair

Sinner
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeSam 2 Nov - 18:22


Bienvenue belle-maman Razz

J'suis déjà M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139 de ce début de fiche M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2727266699 
Revenir en haut Aller en bas
Ghost
Messages : 64
Localisation : Surtout là où l'on ne veut pas de moi !
Date d'inscription : 02/11/2013
Emma Mayfair
Emma Mayfair

Ghost
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeDim 3 Nov - 11:49

Hihihihi M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3057941003 M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3057941003 M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3057941003

Profites de la fiche car bientôt, en rp, tu souriras moins le bâtard ! M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2517296436
Mais crois-moi on va trop bien s'amuser tous ensemble...
Manquera juste que Samael pour notre carré diabolique Cool

Allez je retourne à ma fiche M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeDim 3 Nov - 12:13

Depuis le temps que j'entends parler d'Emma, ça fait plaisir de la voir en vrai O.O

Bon courage, parce que c'est pas tout simple. Comme dirait Molly "elle est une Bellatrix Lestrange moldue !" M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3224530141 
Revenir en haut Aller en bas
Ghost
Messages : 64
Localisation : Surtout là où l'on ne veut pas de moi !
Date d'inscription : 02/11/2013
Emma Mayfair
Emma Mayfair

Ghost
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeDim 3 Nov - 12:39

Merci Ronron chouchou M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 1594718257

Et Molly a entièrement raison ... et imagines ce que cette si garce Emma pourrait donner si elle s'alliait à un vilain missant démon ? Cool

Mais bon si j'ai bon avec le début de ma fiche alors je pense que le reste devrait passer : oui, pour une fois, c'est l'admin qui attendra la validation d'un membre xD

* retourne bosser *
Revenir en haut Aller en bas
Apprends moi la Douleur
Messages : 219
Localisation : pas là où je devrais
Date d'inscription : 18/10/2013
Whisper Morgenstern
Whisper Morgenstern

Apprends moi la Douleur
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeMer 6 Nov - 12:13

Bon la garce a fini sa fiche (ENFIN) mais si jamais tu veux que j'édite et change quoique ce soit n'hésites pas Chouchou namoi M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139
Revenir en haut Aller en bas
Sinner
Messages : 377
Localisation : Dans les ténèbres d'un avions bizarre
Date d'inscription : 07/10/2013
Alexander Black Mayfair
Alexander Black Mayfair

Sinner
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeMer 6 Nov - 13:44


M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2727266699  M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2727266699  M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 2727266699 

Elle est parfaite, encore mieux que je l'imaginais ! M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 1763383717 

J'adore et je valide, évidemment ! M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 692344990 

Bienvenue belle-maman M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3459744893 
Revenir en haut Aller en bas
J'adore peler les têtes d'oignon
Messages : 599
Localisation : Trop loin de ses bras
Date d'inscription : 03/06/2013
Athina J. Mayfair
Athina J. Mayfair

J'adore peler les têtes d'oignon
MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitimeMer 6 Nov - 14:29

Ouais Bienvenue Belle Maman... SBAM
Contente, et encore plus soulagée je l'avoue, que cela te plaise M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. 3499019139
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:. I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

M - Si le Destin semble cruel je le suis plus encore .:FINIE:.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» M - M - La Magie ? Je suis comme Obelix : suis tombée dedans enfant ! |FINIE|
» M - Je n'ai pas choisi d'être ce que je suis [FINIE]
» M - Je suis née de vos erreurs et vous allez devoir les assumer ! {FINIE}
» M - Mais qu'est-ce que je suis venue foutre dans cette galère ? .:FINIE:.
» M - Ah, que je suis demandé, que je suis aimé...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: ϟ Le Coin des Personnages :: Présentation des personnages :: Présentations Validées-