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 M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE]

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E=MC²
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Elizabeth S. Waldorf
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MessageSujet: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 18:22

ID CARD
Nom : Walford
Prénom : Elizabeth Sarah
Sang : Moldue
Âge : 19 ans
Nationalité : américaine & anglaise
Métier : Préceptrice & Etudiante
Statut : Célibataire
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Célébrité : Taylor Cole
CARACTERE
Dix adjectifs minimum.

Douce - Déterminée - Agoraphobe - Ambitieuse - Sentimentale - Loyale - Ignore tout du monde magique - Sérieuse - Franche - Honnête - Attachante - Compréhensive - Naïve - Amusante - Drôle - Maternelle - Studieuse -
HISTOIRE
Cinq cent mots minimum.




La porte de sa chambre était grande ouverte lorsqu'une silhouette, bien connue, se dessina. La jeune diplômée n'eut pas même besoin de se retourner pour savoir qu'il s'agissait là de son père. Elle sentait peser sur elle son regard réprobateur et patiné de cette tristesse qu'elle ne pouvait, ne voulait pas affronter. Elizabeth le savait. Si jamais elle avait la faiblesse de se retourner, alors sa détermination faiblirait. Et au premier mot que son père prononcerait alors elle renoncerait à son projet. La jeune femme soupira, attendant presque que l'homme ne déverse, une fois de plus et à flots continus, tous ces si percutants argumentaires qu'il échafaudait depuis qu'elle lui avait fait part de sa décision. C'était le jour de la remise des diplômes. Comme tous ses petits camarades, Elizabeth était habillée de cette longue robe de couleur sombre que portaient tous les diplômés. Cette journée était celle que tout lycéen attendait. Celui où, en quelques sortes, l'enfance finissait et où, en même temps que celles de l'université, c'étaient les portes de la vie adulte qui s'ouvraient à eux. Elle n'était pas différente des autres. Elle était même parfaitement conforme à ses amis. Peut-être un peu plus jeune il était vrai. Surdouée, studieuse et appliquée, les enseignants de la jeune fille avaient insisté auprès de son père pour qu'il l'autorise à suivre un cursus accéléré. Les négociations furent des plus âpres mais l'homme finit par céder. Il voulait le bonheur de son enfant et, à ce titre, il était prêt à tous les sacrifices. S'il avait pu savoir à cette époque où il avait autorisé sa fille à sauter deux classes, sans doutes se serait-il abstenu. Car lorsqu'il se pensait prêt à tout sacrifier pour elle il était très loin d'imaginer qu'il se faisait le seul artisan du plus grand drame de sa vie. Aujourd'hui Elizabeth était diplômée et, bien évidemment, elle voulait rejoindre les bancs de l'université. Jusque là il n'y avait pas de quoi inquiéter l'homme. Là où les choses se compliquaient de façon considérable c'était qu'elle envisageait de rejoindre les bancs de Cambridge. En Angleterre... Loin de lui... Mais près de celle qui lui avait donné le jour sans jamais, après, s'en souvenir !

Elizabeth vivait à Los Angeles. Elle y avait pour ainsi dire toujours vécu. Mais jamais son père ne lui avait caché la vérité sur sa naissance. Elijah Walford avait, lui aussi, suivi ses études supérieures en Grande Bretagne. A Oxford. Tous les enfants de sa famille en faisaient de même et, en quelques sortes, il s'était contenté de perpétuer les traditions familiales ! Ce fut lors de ces années qu'il rencontra celle qu'il ne mit pas longtemps à faire sienne. Il la mit d'abord dans son lit avant d'officialiser les choses en l'emmenant jusqu'à l'autel. Elle était tout ce dont il pouvait rêver : belle, instruite et possédant la même éducation que lui. A ses côtés il savait qu'il pourrait décrocher la lune, toucher le soleil et cueillir les étoiles ! Ou, de façon plus réaliste et plus pragmatique, il savait qu'elle ferait la plus parfaite des compagnes et des associées quand le temps serait venu pour lui de reprendre la tête du consortium familial. Et, en effet, Meredith était l'épouse parfaite. Du moins en apparences ! Les difficultés commencèrent dès le moment où elle était tombée enceinte. Contre toutes attentes Elijah découvrit que cet événement qui était pour lui le plus heureux qui soit n'était, pour elle, qu'une fort regrettable erreur de parcours. Ce furent les mots exacts que son épouse utilisa pour décrire son état. Et si elle n'avait pas fait le plus parfait des dénis, l'homme savait qu'elle se serait empressée de se faire avorter ! Sans même lui demander son avis !

Mais il était trop tard pour se débarrasser de l'enfant et, quelque cinq mois après l'avoir appris, Elijah Walford devint père. Sa femme insista tout d'abord pour qu'on baptise l'enfant du prénom de sa mère, Elizabeth. Y voyant là un regain d'intérêt pour celle qui était quand même sa fille l'homme s'était empressé d'accepter. Mais il semblait impossible à son épouse de se sentir mère et encore moins d'agir comme telle. L'enfant pouvait pleurer pendant des heures à ses côtés qu'elle ne semblait ni l'entendre ni la voir. Meredith avait refusé d'allaiter et elle ne daignait pas non plus donner le biberon à la petite qui passait plus de temps entre les bras de ses nourrices qu'entre ceux de sa mère ! Celle-ci semblant dégoûtée rien que de la toucher... Etait-ce pour cela qu'elle disparut un beau matin ? Elijah ne l'avait jamais su. Sa femme était partie déjeuner avec une amie et n'était plus jamais revenue. Il s'était tout d'abord alarmé, signalant sa disparition et usant de l'immense fortune familiale pour engager des détectives privés. Mais en vain. Et, alors que la petite Elizabeth fêtait ses un an, il se rendit à l'évidence. Sa femme ne rentrerait jamais. Elizabeth et lui étaient seuls.

Son cycle supérieur achevé, seul avec une petite fille dont il lui fallait s'occuper seul, Elijah suivit les conseils de sa famille et rejoignit donc le berceau des siens : la Californie. Los Angeles plus précisément. Sa famille prit grand soin d'eux, leur achetant une magnifique villa en bord de plage, payant les honoraires des nourrices qui veillaient sur l'enfant quand il fallait que son père aille travailler. La vie était douce et tellement paisible alors ! Elizabeth était une enfant délicieuse qui était aussi belle qu'elle était douce et intelligente. Adorée par tous et adulée par son père la vie lui souriait. Mais il avait fallu que cette lettre arrive. Cette lettre d'Angleterre. De Meredith. Celle-ci se souvenait subitement qu'elle avait une fille et désirait faire sa connaissance. Elijah aurait voulu s'y opposer mais il ne pouvait priver sa fille du droit légitime de rencontrer sa mère. Il ne pouvait s'imaginer que son enfant lui demanderait bien plus. Tellement plus. Elizabeth avait pris sa décision. Elle partirait. Bien sûr le fait qu'elle soit mineure l'empêchait de voyager sans son accord mais elle savait que son père ne pourrait pas la retenir. Il voulait son bonheur, il n'avait eu de cesse de le lui répéter toute sa vie. Et Elizabeth en était persuadée : son bonheur ce serait en Angleterre qu'elle le trouverait !




La moindre des choses que l'on puisse dire c'est que le changement de vie avait été plus que radicale et abrupte pour cette toute jeune femme, encore une adolescente à vrai dire, qui débarquait avec ses bagages et toute sa candeur sous le bras. Elle avait beau n'avoir que quinze ans elle possédait un cerveau capable de rivaliser avec plus d'un adulte et Elizabeth en était persuadée : elle s'intégrerait rapidement à ce nouveau pays qu'elle avait choisi de faire sien. Qui était sien même... Elle était née sur ces terres tantôt brumeuses, souvent pluvieuses et où le moindre rayon de soleil semblait relever du miracle pur et simple. Les gens, en Californie -ses amis les premiers- avaient poussé les hauts cris quand elle leur avait annoncé sa décision de déménager, de venir en Angleterre pour poursuivre ses études. Nul n'avait compris. Tous avaient ri. Personne n'y avait cru. Et pourtant elle était-là, ce matin de juillet 1998, à l'aéroport de Londres. Certes elle frissonnait un peu dans sa robe légère de coton aux couleurs si vive qui, si elles paraissaient normales a Los Angeles, semblaient ici bien criardes et déplacées. Ce fut la première, et la seule chose d'ailleurs, que sa mère lui adressa lorsque, après trois heures de retard, elle vint enfin la chercher. Cette femme qu'elle ne put appeler maman était d'une beauté que rien n'égalait si ce n'était peut-être sa froideur absolue. La seule chose dont Elizabeth se souvenait avec précision de ces retrouvailles se résumait à cette silhouette longiligne enserrée dans un élégant tailleur de tweed sombre. Sa longue chevelure brune était rassemblée en un chignon et même ses yeux étaient dissimulés derrière les verres gigantesques de ces lunettes de soleil qu'elle ne quittait apparemment jamais ! Et la seule fois où elle daigna les abaisser de quelques millimètres se fut pour la fustiger de reproches quant à sa tenue, son attitude et sa chevelure de sauvage ! En fait rien de ce qu'était sa fille ne semblait convenir à Meredith.

La jeune adolescente avait un temps espéré que cette attitude hautaine et distante était surtout due à cette appréhension bien normale qu'elle même ressentait d'ailleurs. Quatorze années de séparation ne pouvaient s'effacer en un simple sourire ! Elizabeth ne s'était donc pas découragée aussi vite que cela et, lorsque son père l'avait appelée le soir-même, elle lui avait assuré que tout se passait pour le mieux. Ce qui était faux et ne cessa jamais de l'être. Meredith vivait auprès des siens et ceux-ci ne firent pas meilleur accueil à celle qui était quand même leur petite fille. Bien qu'elle fut logée dans une somptueuse chambre de leur manoir et bien que nul ne regardait jamais à la dépense pour la vêtir, la nourrir ou parfaire son éducation, Elizabeth manquait désespérément de la seule chose qui lui importait vraiment : la chaleur et l'affection ! Auprès de son père la discipline était stricte mais Elijah savait aussi se montrer juste et doux. Il aimait sa fille et savait le lui montrer, le lui prouver. Non pas à coups de cadeaux plus onéreux les uns que les autres... Mais par un geste simple, une caresse, un mot tendre. Sa mère et ses grands parents, eux, semblaient lui porter si ce n'est de la haine du moins une indifférence des plus totales ! Et bien qu'elle eut tout fait pour savoir ce qui lui était reproché elle ne sut jamais la vérité. Elizabeth ne sut jamais que, suite à sa naissance plus que difficile, sa mère dut subir une hystérectomie totale. Plus jamais elle n'aurait pu avoir d'enfant. Si elle l'avait su peut-être Elizabeth aurait-elle moins souffert de ce rejet qui lui brisait le cœur et lui torturait l'âme !

Mais la famille de Meredith savait garder un secret et la jeune fille, aujourd'hui âgée de dix-sept ans, ne devait jamais rien apprendre de tout cela. A vrai dire elle commençait même à ne plus s'en préoccuper. Elizabeth semblait faire son deuil de cette filiation qui ne voulait pas d'elle. Et puis rien ne la détournerait de son objectif premier ! Elle avait accepté de quitter son père et ce pays qui l'avait vue grandir pour venir à la découverte de sa mère, cela était vrai, mais aussi et surtout pour étudier ! Et c'est ce qu'elle fit. Cambridge... Elle avait adoré ce lieu dès le premier jour où elle en avait foulé le sol ! Ce campus était encore plus magnifique que ce qu'elle avait lu ou imaginé ! Et ici, bien qu'elle soit largement plus jeune que les autres et étrangère, on l'avait acceptée.

Elizabeth était parvenue à trouver son équilibre malgré tout. Elle passait le plus clair de son temps sur ce campus où ses grands-parents avaient été plus qu'heureux de lui payer une chambre. Au moins et ainsi elle n'était plus dans leurs jambes ! Elizabeth en avait conçu de la tristesse avant de bien vite se reprendre. Là, sur ce campus où tout semblait avoir été érigé pour leur permettre de se cultiver et de s'élever, elle était heureuse. Ses journées, pourtant bien longues et studieuses, elle ne les voyait pas même passer. Les cours, les recherches à la bibliothèque et toutes ces heures passées avec ceux devenus ses amis... La petite américaine au sang anglais avait l'impression de vivre un rêve éveillé. Ses professeurs ne cessaient de faire son éloge et elle termina quatre années de suite major de sa promotion. De tels résultats lui ouvraient bien des portes et, l'eut-elle seulement voulu, qu'Elizabeth aurait pu devenir ce qu'elle voulait ! Absolument tout ce qu'elle voulait ! La fin de son premier cycle venu, son diplôme en poche, elle avait songé à rentrer au pays. Son père lui manquait et ce n'étaient pas ces vacances qu'elle passait toujours en sa compagnie qui palliait à cette cruelle absence. Oui, elle voulait vraiment rentrer. Mais... D'un autre côté... Il régnait en Angleterre une ambiance dont elle doutait de plus jamais pouvoir se passer. Comme si, en venant ici, elle avait trouvé sa véritable place. Et, l'été de ses dix-sept ans, lorsqu'elle rentra en Californie, ce fut pour annoncer sa nouvelle décision à son père : elle resterait en Angleterre. Elle avait obtenu une place dans un autre cursus universitaire et, si elle tenait bon encore quelques années, alors elle pourrait réaliser son rêve en devenant enseignante. Joli rêve... Mais les rêves ne sont que cela justement : de simples rêves. Des bulles de douceur oniriques que la réalité finit toujours par faire exploser. Elizabeth, elle aussi, apprendrait cette dure leçon à ses dépends.





Le parc était encore tellement paisible à cette heure de l'après-midi ! Les hordes de nurses armées de leurs poussettes, n'arriveraient pas avant une bonne demi-heure. Ce qui laissait amplement le temps à cette petite fille qu'elle ne quittait pas des yeux, de s'amuser tranquillement. A un instant l'enfant se retourna et lui fit un signe de la main. Elizabeth s'empressa de le lui retourner, l'accompagnant comme toujours d'un baiser aussi invisible que sincère. Oui, elle aimait ce petit être solitaire et si souvent perdu qui était entré dans sa vie sans même qu'elle se souvienne bien comment.

C'était il y avait un peu plus de dix-huit mois, pas tout à fait deux ans... A l'époque elle effectuait des recherches pour sa thèse. Cambridge était un lieu merveilleux dont elle se lassait pas mais où il était bien trop aisé d'en oublier que, au-delà de ces murs, existait un tout autre monde. Un monde qu'Elizabeth, à force de vivre dans ses livres, avaient fini par oublier. Ses amis, ses amours balbutiants, elle les avait tous connus et vécus sur ce campus. Sa vie entière semblait s'être limitée à cela. Elle qui voulait enseigner s'était soudain rendue compte qu'elle ne pourrait le faire sans avoir, elle aussi, expérimenté la vie. Elle que l'on avait toujours choyée, protégée au point qu'elle n'ait même jamais eu à travailler pour financer ses si coûteuses études... Qu'aurait-elle bien pu apprendre  à des élèves ? Si peu en comparaison de ce que, eux, pouvaient lui apporter ! Elizabeth avait donc pris la décision de s'extraire de son cocon si douillet et de s'en aller à la conquête de ce monde dont elle ignorait tout. Sa première action fut de rendre les clés de cette chambre qu'elle occupait depuis près de deux ans. Elle avait un peu -voir même énormément!- d'argent de côté mais elle se refusait à y toucher ! Cet argent elle ne l'avait pas gagné. C'était celui de son père, de ses grands parents... Des sommes impensables qu'ils lui donnaient tous pour mieux lui faire oublier sa solitude. Cela lui serait peut-être utile un jour mais, pour l'instant, Elizabeth voulait se prouver qu'elle pouvait y arriver seule. Toute seule !

Il n'était pas évident pour un être comme elle, une petite poupée studieuse qui n'avait jamais rien fait de ses dix doigts si ce n'était taper ses mémoires, de trouver un emploi. Très difficile même ! Elizabeth connut de multiples expériences, toutes plus désastreuses et infructueuses les unes que les autres. Travailler en tant que serveuse lui avait vite paru impossible ! Non seulement elle était d'une maladresse incroyable un plateau en mains mais elle souffrait d'une agoraphobie bien étrange. Sur le campus la jeune fille allait et venait au milieu de la foule sans jamais avoir eu le moindre des symptômes. Pas plus que, lorsqu'elle était enfant, les plages bondées de Los Angeles ne lui avaient fait peur ! Mais, aujourd'hui, seule et livrée à elle-même dans ce monde dont elle ignorait tout Elizabeth avait peur. De tout. De tout le monde aussi. Ce qui lui rendait la tâche plus que difficile dès lors qu'elle tentait de trouver un emploi ! Elle commençait à désespérer lorsque son chemin croisa inopinément celui de cette petite fille. Amalia. Ce jour là Elizabeth avait trouvé refuge dans le seul lieu public où elle se sentit encore sereine : une librairie. Elle parcourrait les rayons et les allées comme s'il eut s'agit à ses yeux des plus luxueux des endroits. Accaparée par sa contemplation de ses livres elle ne vit pas cette enfant qui, depuis un moment pourtant, la fixait. Ce ne fut que lorsqu'elle sentit sa petite main s'agripper à son jean qu'elle sursauta de surprise. Le livre qu'elle tenait alors en mains chut au sol. Cela n'aurait pu être qu'un banal incident sans conséquences aucunes. Mais cette rencontre devait sceller ce mystérieux Destin après lequel la demoiselle semblait tant courir.

C'était il y aurait bientôt deux ans. Elizabeth sourit tout en remettant en place une mèche de sa longue chevelure brune. Ce jour là Amalia et elle avaient fait connaissance. Et Elizabeth s'était immédiatement prise d'affection pour cette enfant aussi mystérieuse que radieuse. Pour ce qui était du père cela fut moins évident. Drago Malefoy était un homme mystérieux et secret. Pendant longtemps Elizabeth l'avait même craint. Il était si distant ! Si froid ! La jeune fille devenue femme était même persuadée que si la petite n'avait pas autant insisté pour qu'elle devienne sa préceptrice, Drago ne l'aurait jamais vue ni même aperçue. Hormis l'enfant rien ni personne ne semblait exister. Puis les semaines et les mois avaient passé. Elizabeth avait pris Amalia sous son aile, ne cachant pas sa joie de trouver en elle une élève appliquée et des plus douées. Et elle savourait aussi la joie qui était sienne de pouvoir enfin enseigner. Certes elle n'avait qu'une seule et unique élève mais cela suffisait amplement à Elizabeth qui n'en voulait pas d'autres. Elle se rêvait maître de conférence dans un amphithéâtre bondé ? Elle se découvrait bien plus heureuse dans l'intimité de cet appartement où elle aimait à se rendre quotidiennement. Pour Amelia bien évidemment... Mais pas seulement...

Elizabeth était heureuse. Mais elle ignorait que ce bonheur qu'elle estimait si parfait serait bientôt mis en péril. Par des sentiments qu'elle se découvrait éprouver et qu'elle peinait à comprendre et encore plus réprimer. Par l'objet de ces mêmes-sentiments qui cachait en lui les plus troublants et terribles des secrets. Par cette Magie enfin, à laquelle elle ne croyait pas mais qui, comble de l'ironie, la cernait déjà. Non, la leçon de vie que la jeune femme s'était imposée n'était pas finie. A vrai dire, elle ne faisait que commencer !


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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 18:25

rerererererebienvenue !!!! M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139 M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139 M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 18:32

Merkiiiiiiiiiii M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139 M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139 M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 18:44

Tu sais que t'es bien belle hein M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 1697983665 re bienvenue a toi charmante trop charmante jeune demoiselle M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3499019139 M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3631237226
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 18:49

Héhé merci bien joli monsieur M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 3709797303
Mais pas touches à la Moldue : elle est et restera pure Angel

M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 2526737364
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 18:51

Cela peut toujours ce négocié non ? M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 2083733595 
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 19:01

Faut voir avec mon Pikachu de patron sur ce coup là Angel
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 19:31

Ou la fille qui est partout ... Razz REbienvenue !!!
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Peste soit de la Luxure !
MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeMer 18 Sep - 19:34

Quand je te disais que tu ne pourrais jamais m'échapper M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 2128412952
D'ailleurs réserves moi un autre lien hein M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 1763383717
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MessageSujet: Re: M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] I_icon_minitimeJeu 19 Sep - 2:35

M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 595090732 Admin Powaaaaaaaaa M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE] 595090732

Validée je suis ?
Validée tu es !

Merci !
Mais je t'en prie !

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M - Les plus grandes leçons c'est la Vie qui nous les donne [FINIE]

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