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 M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE

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He is My Truth
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Gaia Warhol
Gaia Warhol

He is My Truth
MessageSujet: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeMer 4 Sep - 14:43

ID CARD
Nom : Warhol
Prénom : Gaia
Sang : Pur mais l'ignore
Âge : 28 ans
Nationalité : britannique
Métier : reporter à la BBC
Statut : célibataire
Orientation sexuelle : hétérosexuelle

Célébrité : Doutzen Kroes
CARACTERE
Dix adjectifs minimum.

Idéaliste - Entêtée - Charmeuse - Fouineuse - Curieuse - Tendre - Sentimentale - Maline - Manipulatrice - Sociable - Mondaine - Joueuse - Fidèle & Loyale - Trop téméraire
HISTOIRE
Cinq cent mots minimum.


Once upon Happiness


Un petit jardin anglais semblables à tant d'autres... Un gazon vert tendre, parfaitement entretenu, des massifs de fleurs colorées et odorantes qui bordaient une grande terrasse en bois précieux où une femme, alanguie sur un bain de soleil, profitait de l'un de ces rares rayons de soleil dont le ciel londonien paraissait parfois bien avare. Ses prunelles émeraudes ne lâchaient pas une seule seconde ces deux enfants innocents et insouciants qui s'amusaient joyeusement dans le parc du domaine familial. Leurs rires légers et mélodieux résonnaient aux oreilles de leur mère de la plus douce des façons, venant mettre un peu de baume au coeur de cette femme intuitive qui pressentait déjà les ennuis approcher. Son nez se leva quelques secondes vers ce ciel pour l'instant immaculé mais qui, bientôt, se couvrirait d'épais et bien sombres nuages. Elizabeth Huxley le savait, le sentait au plus profond de son coeur, bientôt ce si fragile et précaire bonheur qu'elle s'évertuait à construire, jour après jour, s'effriterait pour ne plus être que cendres et poussière. Son coeur se serrait mais elle en était certaine. Jamais ses intuitions ne la trompaient. Dans sa famille, sorciers de sang pur, tous avaient ce don particulier. Prévoir l'avenir. Et ce qu'elle voyait, ce jour-là, lui faisait monter les larmes aux yeux.

- Pourquoi pleurez-vous mère ?
lui demanda de sa toute petite voix inquiète et en posant sur elle ses grands yeux de poupée de porcelaine, sa fille puînée. Passant doucement la main dans la longue chevelure dorée de son enfant, Elizabeth de baissa et déposa un baiser sur son front. L'enfant sauta au cou de sa mère et lu murmura doucement Je vous aime maman ! Et je ne veux pas que vous soyez triste ! Jamais ! Quand je serai grande, plus grande que mon frère  même, alors je serai une grande sorcière ! Comme papa ! Et, pour que plus jamais vos larmes ne coulent, j'inventerai les plus beaux des sorts et je vous rendrai heureux père et vous ! Parce que je vous aime !

- Oui Gaia. Oui ma chérie... Un jour, ton frère et toi serez de grands et puissants sorciers et vous serez libres de faire de votre vie un rêve éveillé s vous le souhaitez vraiment. Mais...
les yeux de la femme se voilèrent tandis que ses mains se mettaient à trembler Dylan... Tu es encore bien jeune et tu ne peux pas comprendre ce que je vais te dire mais il faut que tu me promettes de ne jamais oublier tu m'entends ? Jamais. Quoiqu'il se passe demain, dans un an ou dans dix ans, alors tu devras toujours se souvenir de ce jour et de ce que je vais te dire. Tu peux me faire cette promesse, s'il-te-plaît mon bel ange ?

- Oui mère ! Je promets !


La petite fille aux yeux couleur océan riait, promettant et donnant sa parole avant même de savoir ce dont il s'agissait. Mais qu'importait bien une promesse aveugle lorsque, comme la petite fille, on avait que sept ans et que le monde semblait vous appartenir ? Rien ou si peu de choses... Juste quelques mots que la petite écouta, avec une attention non feinte. Non, elle ne comprenait pas un traître mot de ce long, si long même, discours que sa mère leur tint à Jashuem et elle. La petite avait regardé son frère, la mine si sérieuse qu'elle s'en était étonnée. Comprenait-il, lui, toutes ces choses bien trop sérieuses que lui expliquait la voix tremblante leur mère ? Peut-être... Il faudrait qu'elle lui demande de lui expliquer. Après tout c'était lui l'aîné, le plus malin aussi ! Mais plus tard ! Pour l'instant Gaia se retenait de soupirer, opinant de la tête comme une petite marionnette au moment où son frère le faisait. De toutes façons Son frère  était son modèle alors s'il était d'accord avec toutes ces affreuses histoires que leur contait leur mère c'est qu'il fallait être d'accord. Dylan pouffa de rire en promettant néanmoins de ne jamais oublier. Même si, à vrai dire, toutes ces histoires de vilains Aurors ou Mangemorts, de sang plus ou moins pur, de pouvoir et de Seigneur des Ténèbres, elle n'y comprenait rien du tout. Et, pour tout dire, elle s'en contrefichait éperdument ! Elle, tout ce qu'elle voulait, c'était aller jouer avec son frère et, ensuite, profiter de la piscine en attendant que son père rentre du travail. Alors elle promit mais, à peine sa mère les eut-elle une nouvelle fois embrassés avant de les libérer que la petite fille s'empressait d'oublier cette promesse.

Sa mère la regarda partir, le coeur lourd. Elle le savait, Gaia oublierait. Cette promesse, ce jour-là... Sa fille adorée oublierait même jusqu'à cette famille, ce nom et tout cet amour qui, aujourd'hui, étaient pourtant le centre de son univers. Aujourd'hui se dessinait ce que demain serait mais Elizabeth Huxley ne pouvait rien faire pour empêcher ce qui se produirait tôt ou tard. Voir l'Avenir, en deviner les aléas et les entrelacs ne permettait pas pour autant d'en changer le cours. Et, elle le savait, ses deux enfants aujourd'hui tellement unis seraient demain séparés. Et, leur père et elle ne seraient plus. Oui, bientôt le petit paradis terrestre de la famille Wa s'écroulerait. Et, pour son plus grand regret, ce sont ses enfants qui en payeraient le prix... Les enfants payeraient pour les crimes de leurs parents... Triste mais inéluctable... Nul ne peut changer son Destin.


Broken Memories



Les cris se faisaient plus aigus et plus stridents que jamais au fur et à mesure que le ton montait entre ces deux époux qui, depuis plusieurs mois maintenant, ne pouvaient plus se parler sans que, aussitôt, une dispute n'éclate. Elizabeth tentait d'intercéder auprès de son époux, Hadrian, tentant, mais toujours en vain, de le raisonner. Rien n'y faisait ! La femme pouvait supplier, implorer à genoux même, pleurer toutes les larmes de son corps ou en appeler à sa clémence et à l'amour des enfants... Son mari demeurait de marbre, complètement insensible à ces sentiments qui ne l'atteignaient guère plus. Hadrian Warhol avait, jadis, été un homme bon et honnête. Fils unique d'une famille noble anglaise, il avait suivi un parcours exemplaire à Poudlard, passant haut la main ses ASPICS et entamant une carrière des plus prometteuses au sein du gouvernement où il présidait au Magenmagot. Et ce mariage qui les avait unis, Elizabeth et lui, augurait du plus radieux des avenirs. Elle était Auror et aimait passionnément son travail mais ce fut pourtant sans le moindre remords qu'elle y renonça lorsque la vie lui fit la grâce de lui donner son premier enfant : une fille que les époux alors très amoureux prénommèrent Gaïa. Cinq années plus tard une petite raiponce, aussi blonde que sa soeur, vint agrandir la famille et parfaire l'image d'Epinal des Warhol. Pourtant, tous sorciers qu'ils étaient, les époux Warhol oubliaient un peu trop vite que les contes de fées n'existaient pas et que nul bonheur n'est éternel !

Tout commença par cette rencontre que Hadrian fit dans le cadre de son activité professionnelle. Alors que des voix commençaient à s'élever pour dénigrer, ouvertement critiquer ces jugements qu'il rendait de façon soit-disant partiale et intéressée, Hadrian refusa de se défendre. Non, il était un homme droit et intègre et nul ne pourrait jamais apporter la moindre preuve d'une quelconque corruption. Warhol en était certain ! Mais il se trompait : ses adversaires, envieux et bel et bien corrompus eux, n'hésitèrent pas à présenter des fausses preuves, autant de faux témoignages. Interdit, stupéfait par ces accusations officielles maintenant dont il faisait soudainement l'objet, Warhol se montra maladroit dans sa défense et, s'il peut grâce à son avocat, sauver sa vie et sa fortune il ne put empêcher que son poste lui soit ôté et que sa famille ne soit mise au ban d'une société trop bien pensante et encore bien plus prompte à brûler ce qu'elle avait, hier, adulé et respecté.

Gaïa était déjà entrée à Poudlard et, pour la plus grande joie de son père et de sa mère, elle avait été envoyée à Serpentard. Maison qui, bien que possédant déjà une sulfureuse réputation, n'était pas ce qu'elle advint par la suite. Mais dès que l'opprobre dont son père fut victime dépassa le petit cercle des sorciers londoniens pour venir franchir les si hautes enceintes du pensionnat la jeune fille dut, elle aussi, subir les moqueries et les regards soupçonneux de ses camarades de classe. Après tout si le père était un vendu, la fille devait être à son image, non ? Non ! Gaia, malgré sa douceur naturelle, savait parfaitement se défendre et elle n'eut aucun mal à se faire respecter. Pourtant Elizabeth le voyait, le sentait venir aussi. Gaia grandissait et ressemblait un peu plus à son père. Celui-ci s'était enfermé dans un mutisme et une solitude dont seul sa fille parvenait encore à l'extirper. Quoique, pour être plus exact, Elizabeth sentait son coeur vibrer de peur lorsqu'elle assistait à ces si nombreuses escapades que le père et la fille faisaient ensemble et dont ils revenaient l'un et l'autre encore un peu plus sombres et un peu plus durs qu'auparavant. Elizabeth s'inquiétait, posait des questions auxquelles elle n'obtenait jamais de réponses. Juste un silence pesant qui la hantait dans ces rêves prémonitoires qui agitaient les nuits de la jeune mère.

Et ce cauchemar qu'elle faisait de façon récurrente depuis des mois se produisit, achevant de faire voler en éclats la petite famille.raiponce venait de fêter ses onze ans et, comme toute les petites sorcières de son âge, elle venait de recevoir sa lettre pour Poudlard. Elle riait, souriait, s'enthousiasmant de rejoindre le pensionnat où, enfin, elle pourrait retrouver ce grand frère qui semblait ne plus éprouver de douceur que pour elle. Son petit angelot farceur voilà le petit surnom affectueux qu'il aimait à lui donner. Là était encore la seule consolation d'Elizabeth qui sentait se lever le souffle de la destruction. Ses deux enfants s'aimaient, s'adoraient et rien ne pourrait jamais les séparer. Rien ? Si. Il était une chose que la mère n'avait pas pu prédire, pas su voir dans ses prémonitions. Et quand le danger qu'elle craignait tant finit par se manifester la femme sentit son sang se glacer d'effroi. La Faucheuse était venue et, implacable, elle effectua son travail, emmenant avec elle les deux époux Grimm et faisant des deux petites des orphelines.

Hadrian, après le déshonneur qui lui était tombé dessus, avait peu à peu versé dans les méandres des forces Mages Noirs. Entraîné par des bon amis qui ne lui voulaient bien évidemment que du bien, il avait jeté aux orties toutes ces valeurs, ces principes et ces lois qu'il avait jadis juré de défendre. A quoi bon respecter ces sorciers qui l'avaient tous conspué, rené dès que le petit doute avait envahi leurs esprits limités. Les partisans des forces de l'ombre lui promettaient non seulement le pouvoir, la revanche mais aussi lui assuraient un soutien qui lui avait tant fait défaut jusque là ! Que demander de plus ? Rien sans doutes. Mais c'en était trop pour son épouse qui, peu à peu, avait cédé aux appels d'un fougueux amant qui avait l'avantage, lui, de la considérer et de la traiter avec douceur et tendresse. Aux yeux de cet homme Elizabeth se sentait enfin vivre ! Elle se sentait belle ! Mais cet homme, non seulement était son amant, mais il était aussi et surtout un Moldu ! Lorsque Hadrian en eut vent sa colère fut terrible ! Et sa vengeance aurait sans doutes l'être aussi. Surprenant les deux amants au lit une bagarre s'engagea entre les deux hommes. Les coups et les insultes pleuvaient et Elizabeth ne put rien faire. Elle criait, hurlait, pleurait... Mais rien n'y faisait. Les deux hommes ne s'arrêteraient qu'avec la mort de l'un des deux. Lorsque Hadrian sortit sa baguette pour jeter le plus impardonnable des sortilèges Elizabeth hurla. Une dernière fois. Le sort la frappa, la laissant morte. Son amant, galvanisé par une colère folle, se jeta sur l'époux meurtrier et le rossa tant et tant que lui aussi, malgré toute sa puissance et sa magie, périt.

Elizabeth et Hadrian étaient morts dans les plus atroces des circonstances. Leurs corps furent retrouvés mais l'assassin, lui, courrait toujours. Une enquête fut diligentée mais en vain. Malgré les moyens déployés ni l'assassin ni la petite Gaia ne furent retrouvés. L'enfant, présente au moment des faits, avait mystérieusement disparue. Avait-elle été tuée elle aussi ? Ou avait-elle enlevée par le meurtrier de ses parents ? La question demeurait en suspends et encore plus dans l'esprit de cette orpheline, raiponce, qui lors des funérailles de ses parents pleurait non seulement ces derniers mais aussi cette soeur adorée qui lui avait été ravie et qu'elle se jura de retrouver un jour ! Pendant ce temps là, dans un hôpital moldu, une petite fille ouvrait les yeux après de longs jours passés dans un coma des plus profonds. Elle se releva, jetant un regard hébété sur cet homme et cette femme qui ne l'avaient pas quittée d'un pouce depuis que l'homme l'avait conduite aux urgences. Gaia avait en effet assisté aux meurtre de ses parents et son esprit avait été tellement choqué qu'il avait préféré oublier, nier une réalité trop dure à porter, à assumer. Gaia s'était réfugiée dans une amnésie pour l'instant salutaire. Et lorsqu'elle regarda l'homme qui avait été l'amant de sa mère et le meurtrier de son père elle ne le reconnut pas. Et ce fut dans un sourire reconnaissant et sincère qu'elle avala ces couleuvres que lui servirent les deux époux. Ses parents avaient péri dans un accident de la route et elle seule avait été sauvée. Et, dorénavant, elle vivrait avec eux.

Gaia sourit. Cela lui convenait. Elle avait onze ans et était née sorcière. Mais la vie qui avait été la sienne était effacée, oubliée... Dorénavant et pour bien des années encore, Gaia grandirait et serait élevée comme n'importe laquelle des enfants moldus. Pendant bien longtemps elle ignorerait tout de la magie qui bouillonnait pourtant dans ses veines. Non, maintenant, la petite s'appelait Gaia Warhol et peu à peu appelait le meurtrier de son père Papa. Pourtant, quelque part, si près et à la fois si loin, un ejeune femme la cherchait, ne renonçant jamais. raiponce Wharol  voulait trouver sa soeur ! Elle était vivante elle en avait la conviction ! Et elle la retrouverait ! Oui, mais pas avant très longtemps !


The Wind of Change




- Hey Gaia ! T'as assuré ma belle ! Partout dans le milieu on murmure que tu seras bientôt en lice pour le prochain Pulitzer ! Tes derniers clichés sont à tomber !
jeta joyeusement un jeune homme tout en venant prendre dans ses bras et serrer avec effusion celle qui venait tout juste de franchir les douanes. Ne lui laissant pas même le temps de respirer il s'empara de ses bagages et la prenant affectueusement par la main il l'entraîna dehors Tu as fait bon voyage ? Ton vol s'est bien passé ? Et les Emirats, c'est bien ? On va en discuter autour d'un verre et d'un bon dîner ?

- Alors dans l'ordre : le voyage fut affreux car tu connais la précision et la ponctualité de ces fichus vols aussi bien que moi, non ? Deux heures de retard, des contrôle un peu partout et un saut de puce à faire à la dernière minute à Capetown pour un sujet brûlant. Bref, je suis explosée de fatigue et, désolée, mais je pense que le verre tout comme le dîner, devront attendre un autre soir si cela ne te dérange pas bien sur. Là je n'ai qu'une seule envie, prendre ma voiture et rentrer chez moi me plonger dans un bon bain et dormir pendant au moins vingt-quatre très très longues heures !


- Chez toi ou chez ton mec ? On murmure que tu vis chez lui depuis quelques temps ?
lança d'une voix goguenarde où transparaissait trop bien une pointe de jalousie et tout en regardant la sublime blonde qui se tenait devant lui, la clé déjà enfoncée dans la serrure de sa Porsche. Tu n'es plus mineure ma belle ! Et tu as suffisamment d'argent entre l'héritage de tes parents naturels et celui de tes parents adoptifs pour te permettre de prendre ton envol, non ? Sans compter que tes derniers clichés vont encore te rapporter un beau petit pactole ! Si jamais cela t'intéresse je connais un super agent immobilier il te dénichera l'endroit parfait pour...

- Pour faire quoi Rhys ? Nous permettre de roucouler et de nous rouler dans la luxure dès que ta fiancée aura le dos tourné peut-être ?
dit-elle doucement tout en riant joyeusement avant d'embrasser sur la joue son collègue et ami de toujours et de monter au volant de son bolide On a déjà joué cette partition et cela n'a rien donné de bon. Ni pour toi, ni pour moi, ni pour elle ! Alors évitons donc de recommencer les mêmes erreurs tu veux bien ? puis démarrant elle baissa sa vitre fumée et ajouta dans une moue mutine et enjôleuse Et, pour ce mec comme tu l'appelles... Il n'existe pas le moins du monde !

Puis la jeune femme démarra, mettant les gaz et fuyant loin de cet aéroport où elle venait d'atterrir afin de reprendre la route qui, d'ici quelques instants selon la circulation, la mènerait en plein coeur de Londres. Alors que ses prunelles bleu océan se portait sur cet horizon d'asphalte, Gaia ne put s'empêcher de pousser un profond soupir. Oui, Rhys, aussi agaçant et curieux qu'il puisse être, avait raison. Elle avait atteint l'âge, et avait largement la capacité financière, de prendre son envol et de quitter cette maison où elle avait été placée après la mort de ceux qui, alors qu'elle n'avait que onze ans, l'avait recueillie puis légalement adoptée. Ce qu'avait été sa vie auparavant la jeune reporter n'en avait pas la moindre idée. Depuis cet accident où ses vrais parents avaient trouvé la mort et dont elle n'avait réchappé que par elle ne savait quel miracle, tous ses souvenirs semblaient avoir disparus. Rien... Elle ne se souvenait de rien du tout ! Elle avait eu beau tout tenter, même une thérapie avec un psychiatre renommé et hors de prix mais impuissant à lui venir en aide, pour tenter de se souvenir. En vain. Aussi avait-elle fini par renoncer. Même si, dans ses songes agités qui la laissaient souvent pantelante et hurlante, elle revoyait des choses qui, dès lors qu'elle se réveillait, lui échappaient. La réponse était là, enfouie quelque part en elle. Le problème ? Gaia semblait en avoir perdu la clé !

Lorsqu'elle se laissait aller à y songer, et la conduite ou les vols étaient les plus propices des moments pour cela, alors Gaia se disait qu'elle devait être née sous la plus belle des étoiles ! Ses premiers parents à peine morts et enterrés elle avait pu trouver sa place au sein d'un foyer aimant et qui l'avait aimée comme si elle avait réellement été leur fille. Certes celui qu'elle avait appelé papa lui avait toujours semblé mal à l'aise lorsque, et cela lui semblait bien légitime, elle lui avait demandé ce qu'il savait de ses origines. L'homme, d'ordinaire si calme, s'emportait alors et partait dans des explications que la jeune fille n'avait jamais crues. Même si, pour ne pas vexer son père adoptif, elle n'en avait jamais rien montré. Cet homme lui mentait. Et il le faisait si mal que Gaia en était très vite arrivée à la conclusion qu'il en savait bien plus qu'il ne voulait bien l'admettre. Mais, eux encore en vie, elle n'avait jamais insisté. Après tout ils l'aimaient et, grâce à eux, elle avait pu faire ses études dans le plus prestigieux des établissements suisses avant d'intégrer une grande université américaine dont elle était sortie première de sa promotion. Sa carte de presse en poche elle avait bourlingué de rédaction en rédaction avant qu'on ne lui donne sa chance au sein de la rédaction de la prestigieuse BBC. D'abord cantonnée à des rôles et des postes insignifiants elle fit ses preuves et parvint enfin à décrocher ce poste de reporter qu'elle désirait tant. Ce fut pourtant lors de l'un de ces reportages qui l'emmenaient aux quatre coins du monde, qu'elle reçut ce mail qui devait, une fois de plus, bouleverser sa vie. Ses parents étaient morts. Une nouvelle fois Gaia se retrouvait orpheline.

Les circonstances du décès, tout comme la première fois, suscitaient tant de questions que cela lui tournait la tête. Un accident ? Une chaussée rendue glissante par une pluie diluvienne, une voiture avec un conducteur aviné qui avait un peu trop surestimé ses capacités et ses réflexes... Et le choc. Latéral, soudain et meurtrier. Ses parents n'avaient pas souffert. Ceci était la bien maigre consolation de la jeune femme qui, une fois de plus, s'était retrouvée seule au monde. Mais, comme si un bien étrange ange gardien veillait sur elle, ce fut à ce moment très précis qu'un mystérieux homme entra dans sa vie. Finnigan... Elle le connaissait de réputation bien sur. Homme de principes et de comptes il gérait d'une main de fer une prospère entreprise d'armement qui fournissait les plus grands gouvernements au monde. Veuf, père d'une adolescente qu'il voyait peu car elle était pensionnaire et lui voyageait beaucoup de son côté, il était réputé pour ne pas être un homme facile à vivre. Bien que capable des plus grandes facéties il était aussi et avant tout un homme sanguin prompt à se mettre en colère. Et, cela au moins, était vrai. Il ne fallait pas bon essuyer le grain des colères monumentales de cet homme !

Lorsqu'ils s'étaient rencontrés c'était aux funérailles de ses parents. Il était venu à elle et, après lui avoir présenté ses condoléances, il s'était présenté. Ses parents et lui étaient amis. Pas ceux qui venaient de trouver leur ultime demeure, non eux étaient pour lui de parfaits étrangers. Mais, et là Finnigan lui était soudainement apparu comme le plus intéressant des hommes au monde, il prétendait, assurait avec le plus parfait des aplombs avoir connu ses parents naturels. La jeune femme avait douté, suspecté bien des choses. Après tout elle était journaliste et la curiosité et la méfiance étaient pour bien des gens des défauts mais, pour elle, c'étaient des qualités inestimables. Pourtant, au fil des mois, elle avait fini par se laisser amadouer, apprivoiser même. Et, lorsque Finnigan lui avait proposé de devenir son tuteur - plutôt même son mentor, elle s'était laissée séduire. Mais certainement pas comme son ami le pensait ! Ah ça non ! Sa liberté lui importait bien trop pour s'aliéner à une quelconque relation amoureuse !

Qui plus était elle avait bien d'autres chats à fouetter en ce moment. Des rumeurs courraient un peu partout dans Londres. Au départ tout le monde avait songé qu'il ne s'agissait là que d'un canular stupide de quelques farceurs sous acides mais, au fil des jours et des semaines, le doute avait commencé à s'installer dans tous les esprits. Et ceux des journalistes en premier ! Et comme il n'y avait jamais de fumée sans feu... Peut-être, oui peut-être bien, que ses rumeurs démentes comportaient une once de vérité. Ce qui, bien évidemment, aiguillonnait la curiosité et les instincts de reporter de Gaia. Elle avait insisté, presque supplié, mais avait obtenu gain de cause. Elle et son collègue, ce cher Rhys, enquêteraient ensemble. Si jamais ils parvenaient à apporter la preuve que toute cette histoire abracadabrante était vraie alors ils l'auraient leur Pulitzer ! Sinon ? Ils seraient mondialement ridiculisés et leurs carrières seraient fichues ! Quelle rumeur ? Pas une rumeur mais une réalité. Gaia le savait maintenant. Elle se gara et demeura un instant dans l'habitacle. Sa clope à la main elle regarda cette photo qu'elle avait prise il y avait déjà quelques semaines. C'était en plein Londres. Et, dessus, deux hommes se faisaient face. Au bout de leurs mains se dressaient ce qui ressemblaient à des bouts de bois dont jaillissaient des sortes d'éclairs verdâtres. Gaia observa pendant de très longues minutes avant de ranger le cliché avec soin. Oui les rumeurs disaient vrai : la magie existait. Et les sorciers aussi !


Nobody can deny who they are


Une maison de style victorien... Elle est tellement immense qu'elle s'y sent minuscule, comme perdu dans ce dédale de couloirs et de pièces qui lui semblent, soudainement, si hostiles. Pourtant, comme inexorablement, elle avance... Tout autour d'elle la pénombre règne. Elle s'est réveillée il y a peu. Etrange... Cette pièce, cette chambre... Une autre petite fille y demeure encore, paisiblement assoupie. Gaïa l'a vue lorsque ces éclats de voix l'ont tirée de son sommeil. Qui sont ces personnes ? Et pourquoi se disputent-ils ? Elle l'ignore. Pourtant elle s'est levée, avançant vers cette porte entre-baillée au fond de ce si long couloir. La lumière, encore plus que les voix, l'attire. Ses mains tremblent et une goutte de sueur perle sur son front. Elle a froid ! Tellement froid même ! Les éclats de voix se font plus forts, plus distincts aussi... Deux hommes et une femme. Celle-ci pleure et supplie mais ils ne semblent pas l'entendre. Gaïa sent qu'elle ne devrait pas y aller. Elle le sait : elle ne doit pas entendre ni encore moins voir ! Elle ne le doit pas ! Mais il est déjà trop tard. Ses petites mains poussent déjà la porte de ce qu'elle découvre être une chambre. Ses yeux s'écarquillent devant la scène d'horreur qui apparaît devant ses yeux d'enfants. Des yeux se tournent vers elle... Des mots... Sa propre voix maintenant. Elle hurle à plein poumons.

Ses yeux s'ouvrent. Gaïa est en sueur et assise dans son lit. A ses côtés son amant dort encore paisiblement. A peine esquisse-t-il un très léger mouvement alors que la jeune journaliste se lève et, attrapant au passage son paquet de cigarettes, s'en va se lover au fond de son canapé dans le salon. Machinalement ses doigts allument une cigarette avant de se saisir de la télécommande et d'allumer la télé. Le bruit des informations qui se déversent en un flot continu semble la rassurer quelque peu mais le malaise persiste. Ces cauchemars, toujours les mêmes, ne semblent pas vouloir la quitter. Chaque nuit, depuis, des semaines, ils viennent la voir et la hanter. Et, chaque fois, il la réveillent, lui laissant la plus désagréable des impressions. Comme si, toutes ces images et ces sons éveillaient en elle une sensation de déjà-vu qu'elle ne parvient pas à s'expliquer. Ils semblent tellement réels ! La jeune blonde tire nerveusement sur sa cigarette tout en dodelinant de la tête. Stupide ! Ce n'est qu'un rêve ! Un putain de cauchemar et c'est tout ! De toutes façons, de quoi d'autre pourrait-il bien s'agir n'est-ce pas ?

Lentement les heures se sont écoulées et le malaise s'est dissipé. Les minutes et les heures défilent, joyeusement partagées entre ces réunions avec la rédaction et ces moments, aussi rares que précieux, où elle peut enfin s'échapper et ne vivre que pour elle. Enfin... Si tant est qu'elle ait seulement une vie bien à elle d'ailleurs ! Gaïa est une jeune reporter qui ne manque pas de faire se délier les langues autour d'elle. Et, chose extrêmement rare dans sa profession, cela n'est jamais en mal ! Certes elle est connue pour son opiniâtreté et sa témérité mais tous louent surtout sa délicatesse et cette pudeur qui fait si souvent défaut à ses pairs ! La jeune femme s'est édictée une ligne de conduite morale très stricte et rien ni personne n'a jamais pu l'en faire dévier d'un pouce. Pas même les douces moqueries dont rhys, sans doutes l'homme qui la connait le mieux au monde, ne cesse de la gratifier gentiment. Alors qu'elle pense à son ami de toujours ou presque, elle ne peut s'empêcher de sourire. Ils s'entendaient bien, aussi bien sur le plan vertical qu'à l'horizontal et, dans le boulot, ils étaient redoutablement efficaces quand ils enquêtaient ensemble. Peut-être auraient-ils pu être heureux ensemble ? Peut-être bien en effet... Mais ils se ressemblaient bien trop pour seulement pouvoir espérer durer en tant que couple légitime. Aventuriers éperdus de liberté ils étaient plus des loups solitaires que des inséparables ! Et puis l'amour... Voilà bien une chose à laquelle la jeune femme ne voulait pas croire. Le couple était une aliénation qui finissait toujours par faire souffrir. Et si elle possédait de nombreux défauts le masochisme n'était définitivement pas de ceux-là !

Pourtant, alors que son rendez-vous pour déjeuner arrivait, s'avançant vers elle, la jeune femme ne put s'empêcher de sentir son coeur se mettre à battre un peu plus fort en son sein. Ses lèvres s'étirèrent en un radieux sourire et elle ne put empêcher ses joues de s'empourprer lorsque l'homme y déposa un tendre baiser. Passant son bras autour de la taille de la jeune femme l'homme l'entraîna à sa suite. Pendant de longs moments ils se contentèrent de se balader, d'errer le long des rues de Londres, parlant de tout et surtout de rien. Peu lui importait bien le sujet de leurs conversations tout ce qui comptait pour Gaïa était ce sentiment de sécurité qu'elle éprouvait dès lors que Noam était près d'elle. Il n'aurait du être qu'une simple aventure d'un soir mais il était devenu un être qui comptait pour elle. Ami, confident il était l'un des piliers de son existence. Et même si elle savait que l'ambiguité était plus que latente elle préférait ne pas y penser. Peut-être parce qu'elle aimait trop Noam pour seulement risquer de le perdre en allant trop loin avec lui ? Ou peut-être était-ce à cause de cet autre homme, Jonathan Hardwick, qui commençait, lui aussi, à prendre une place importante dans sa vie ? Allez savoir ! La seule chose qu'elle savait était qu'elle évitait soigneusement de parler de Jonathan a Noam et inversement. Cela lui semblait plus ... prudent ? Peut-être bien en effet. Et Gaïa agissait souvent par instinct. Celui-ci ne la trompant jamais !

Sauf ce jour là... Ce jour là Gaïa n'aurait pas du suivre son instinct. Elle n'aurait pas du tourner au coin de cette large avenue pour s'engager sur cette petite allée arborée où elle marchait à présent. Subitement ses pas ses suspendirent. Les propos que lui tenait son ami ne lui parvenaient plus que dans un épais brouillard. Alors qu'elle repoussait la main du professeur, elle s'éloigna. Ses jambes vacillaient et elle manqua de se faire renverser au moment où elle traversait. Sans même s'en soucier elle se dirigea vers cette galerie d'art où, perdue au milieu des oeuvres exposées deux femmes discutaient. L'un d'elle attirait son attention au point presque de l'hypnotiser. Ce visage ! Certes il semblait plus âgé, plus adulte mais Gaïa était persuadée qu'il était le même que celui de la petite fille endormie avec elle dans son rêve. Les images affluaient de nouveau dans son esprit, plus confuses que jamais ! Puis il y eut cette vois qui lui revint. Une petite voix effrayée qui murmurait son prénom à elle. Cette fille dans son rêve l'appelait... Gaïa tremblait comme une feuille à présent. Les images, les sons, tous se faisaient plus précis, plus troublants ! La tête lui tournait et s'il n'y avait pas eu Noam à ses côtés pour la soutenir elle se serait sans doutes effondrée au sol ! Alors qu'il la regardait, inquiet, elle murmura d'une voix teintée d'incompréhension.

- Je... Je commence à me souvenir Noam ! Mon enfance... Noam... Tu vas me croire folle mais cette femme, dans la galerie... Elle s'appelle raiponce ! Et, ne me demandes pas comment je le sais mais... Elle est ma soeur !
puis s'effondrant dans les bras de son ami, elle pleura à chaudes larmes Oh Noam ! Que se passe-t-il ? Qui suis-je Noam ? Qui suis-je ?

Gaïa commençait à se souvenir et cela lui faisait mal. Très mal ! Elle qui passait sa vie à courir après la Vérité était sur le point de découvrir la sienne. Et, oui, cela allait être douloureux ! Mais nul ne peut nier qui il est vraiment, n'est-ce pas ?




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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeMer 4 Sep - 14:50

Pouiiiiiiiiiiiiiiiiic !
M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 1763383717
Et moi je suis le Mulder de ta Scully *sort*
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Themis J. Devereaux
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeMer 4 Sep - 15:06

Razz Razz Razz
Malin je viens de recracher mon zero coke tant je me bidonne xD
T'imaginer en Mulder j'avoue que ça claque trop M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 1763383717
Je t'aime ma belle M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 3499019139
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 11:22

J'ai finiiiiiii Razz
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 12:40

Je m'occupe de toi tout de suite !!! M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 362709081 
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 12:42

Merci la belle M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 3057941003
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 12:46

Je suis au regret de t'informer que ta fiche m'a trop éblouie pour la juger ! M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 2083733595 
Tu es bien entendu validée et je te souhaite tout plein d'aventure avec ce nouveau personnage !! M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 3714534357
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 12:54

Merci infiniment ma jolie M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 3499019139

Et tu sais quoi ?
Je t'aime bien quand tu sifflotes Razz

* câlin*

Et fais ta fiche de liens que je vienne te les troller M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 2083733595
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 13:22

Je m'en occupe dans la journée !! :D Tout comme l'arrivée de ma Mila M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 1406573342 
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 13:31

Owiiiiiiii M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE 3057941003
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitimeJeu 5 Sep - 19:02

Re bienvenue parmi nous
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MessageSujet: Re: M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE M - La Vérité est ailleurs même si je ne m appelle pas Scully FINIE I_icon_minitime

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