I am 47 ans ♠ Ancienne Serdaigle ♠ Sang Pur ♠ Femme au foyer ♠ FEAT Monica Bellucci
Citation
Caractère
Qui peut, en notre monde, se targuer de savoir qui se cache derrière ces masques que nous arborons tous au quotidien ? Un grand dramaturge moldu anglais prétendait que le monde entier était une scène et que les humains étaient tous des comédiens... Il avait raison et, au sein de ce clan qui est devenu le mien, je ne fais pas exception à la règle.
Tout, chez moi, n'est qu'apparences et, je vous prie de le croire, il n'y a pas un seul instant où je ne peaufine ce masque que j'ai mis si longtemps, toute une vie ou presque, à me fabriquer. De mon sang et de ce rang qui me furent offerts à la naissance je conservais cette habileté à savoir me conduire en société. Les années, l'expérience et il me faut bien l'admettre, mon mariage avec William, me permirent d'affiner un peu plus mon jeu en cette matière où j'excelle désormais. Toujours soignée dans mes apparences, je le suis tout autant dans mes attitudes et ces mots dont je n'use jamais qu'avec la plus vive des intelligences. Même si je prends un malin plaisir à laisser croire le contraire je l'admets et m'en confesse ben volontiers. Erudite, cultivée et rompue aux mondanités en tous genres je suis la femme mondaine par excellence. Sans doutes est-ce l'une des rares choses que mon époux admire en moi sans, bien évidemment, jamais me le dire ! Guère son genre... Mais je sais tenir ma maison et chacune de nos réceptions est une pure merveilles, celles pour qui les gens les plus haut placés feraient des pieds, des mains et même des baguettes pour y être invités, vus et bien évidemment reconnus. J'y brille comme la parfaite maîtresse de maison que je suis et je me fais un point d'honneur à, pour autant, ne pas priver William de cette lumière qui lui plait plus encore qu'elle ne lui sied. Ainsi en est-il de notre couple. Nous brillons et nous étincelons, ensemble ou séparément. Voilà un sujet sur lequel je sais avoir su gagner sa confiance.
Un autre sujet sur lequel nous pouvons nous retrouver autant que nous opposer ? Notre famille. Je connais les allégeances des hommes de ma vie et, bien que je ne les partage pas, je n'ai pas l'inconscience de le dire à voix trop haute. William ne le tolérerait pas et, je le sais, il me le ferait amèrement regretter. Il ne m'a jamais frappée et je doute qu'il le fasse un jour mais il n'en a pas besoin pour me tenir sous son joug. La violence grondante et sous jacente est souvent bien plus efficace que les coups et, cela, mon mari le sait et n'hésite jamais à en user. Voir même à en abuser. J'ai peur de lui. Mais, pourtant, il peut nous arriver de nous retrouver. Tendrement ? Je ne pense pas, non. Disons simplement que nous nous portons une sorte de respect mutuel. Guère équilibré je l'admets. Je le respecte parce qu'il en impose. Lui, me voit comme une magnifique femme apte à servir ses si hautes exigences et ambitions. Et comme la mère de ses trois fils. Je lui ai donné des héritiers, des fils !
Qui je suis ? Une femme aux formes aussi appétissantes que possible, une femme érudite et soumise à cet époux que je crains... Une mère aimante, trop à ce qu'en dirait certains... Mais j'aime mes enfants, ils sont mes plus beaux trésors, le symbole de ma réussite à moi ! Certains pensent que l'on ne peut exister vraiment lorsque, comme moi, on est mère au foyer. Je méprise leur suffisance crasse et leur profonde bêtise. Qu'ils pensent donc cela de moi cela ne m'atteint pas. Ils me plaignent ? Mais de quoi ? Dans ce royaume qui est le mien et malgré les tensions que mon mari sait faire naître comme personne, je suis la Reine. Et je m'en contente parfaitement. Hautaine et fière de mon rang je ne vois de toutes façons pas la moindre raison de me mêler à cette plèbe que je toise toujours avec le plus grand des mépris. Et si j'aime les belles choses au point que l'on me croit frivole je n'ai aucune envie de briller par moi-même. Manque d'ambition ? Quelle grave erreur que celle-ci ! Ma réussite à moi c'est ma famille ! Mon mari, mes fils et jusqu'aux épouses et fiancées de ces derniers que je mets un point d'honneur à choisir. Ma famille sera parfaite ! Même si, comme je vous l'ai dit en commençant, tout n'est jamais qu'illusions !
Oh une dernière chose mais qui peut se révéler utile... Je ne suis pas violente et j'exècre et fuis les conflits en tous genres. Mais je suis une épouse et une mère. Surtout une mère... Et il ne ferait pas bon toucher à mes fils ou à ceux, voir celles, qui leurs sont proches... Qui sait ce qui pourrait alors arriver ?
Ma vie... Vaste question que celle-ci... Je pourrais vous conter cette enfance des plus idéales, idylliques qui fut la mienne mais où en serait l'intérêt ? De cette enfance auprès d'un père politicien et à la tête du département de la coopération magique internationale et d'une mère aimante et au foyer, je ne garde que les plus tendres et ennuyeux des souvenirs. Je grandis entourée d'amour et attentions et je reçus une éducation qui, si elle fut stricte, ne me brima pas pour autant. J'étais une enfant sage et, déjà, bien docile. Studieuse et plutôt bonne élève je ne cherchais pas non plus à me classer parmi les premières. A quoi bon ? Mon avenir ne se trouverait jamais dans ces diplômes que j'obtins plus pour plaire et complaire à mes parents que par réelle ambition. Mon avenir, je l'ai toujours su, dépendrait de celui qui me serait assigné comme époux.
Et, en la matière, je ne sais toujours pas aujourd'hui quoi en penser. William Rookwood fut celui que l'on me choisit. Et tout aussi sûrement celui auquel je fus livrée en pâture. J'étais tout juste majeure quand je délaissai mon nom de jeune fille pour prendre le sien le jour où je devins, pour l'éternité, son épouse. J'étais jeune, belle à damner les saints et je lui plaisais. Notre nuit de noces, tout comme les suivantes, ne furent pas de tous repos et un premier enfant vint vite faire notre joie. Loriel, mon premier joyau, mon premier trésor. Un an plus tard Kiriel vit le jour. De mes trois fils il est sans doutes celui dont je me sens, aujourd'hui plus que jamais, la plus proche. Et, bien que l'envie me taraudait de donner naissance à un autre enfant il me fallut attendre trois longues années avant que mon canard, Raziel, ne voit lui aussi le jour. Mes fils, mes princes, mes amours. Il n'y a pas de mots pour exprimer ce qu'ils représentent pour moi et décrire cet amour aussi incommensurable qu'inconditionnel que je leur porte. Ce sont eux les véritables amours de ma vie. Et non William qui est pourtant mon mari.
Mon mari... il y aurait tant de choses à dire sur cet homme qui m'effraye autant que me fascine. M'a-t-il jamais aimée ? Je ne pourrais l'affirmer. Mais j'aime à penser que, à défaut de passion, nous avons su nous trouver au fil des mois et des années. Nous nous sommes apprivoisés, lui me dominant même complètement. Si mon physique des plus parfaits n'est pas pour lui déplaire il ne tolérerait jamais qu'un autre que lui puisse jamais en profiter. Et il eut vite fait de me prévenir : si je le trompais, je le paierais de ma vie. Menaces que je pris suffisamment au sérieux, non pas pour ne pas prendre d'amants, mais pour les lui dissimuler soigneusement. Kiriel fut par deux fois mon complice, abritant mes amours clandestines. Je n'ai jamais eu que trois amants mais, pour ce qui est du premier que j'osais prendre, Kiriel lui-même ne le sut jamais. Je doute qu'il aurait apprécié d'ailleurs. William, lui, ne sut et ne saura jamais rien de ces trois hommes auxquels j'offris mon corps sans le moindre regret et je tremble parfois qu'il ne le découvre. Pourtant... Pourtant lui ne se gêne pas pour avoir des maîtresses. Je le sais mais, honnêtement, ne m'en préoccupe guère. Il ne l'accepterait pas et, moi, tant qu'il se montre discret et finit par me revenir... Pourquoi m'en plaindrais-je ?
J'aime ma vie. J'aime le luxe dans lequel j'évolue et qui fait de moi l'une des femmes en vues de notre si haute société londonienne. Mon couple, aux yeux de tous, est le plus parfait qui soit. Les réceptions, que ce soit celles où nous nous rendons où celles que j'organise, sont toujours des occasions pour notre clan de briller et d'asseoir un peu plus notre place et notre influence. On est rien sans réputation et la notre est impeccable. Que mon mari, mes fils et même ma belle fille Pandore soient Mangemorts ? Je n'apprécie pas et je ne cesse de trembler pour eux lorsque je les sais partis en mission. Mais je fais avec et garde pour moi mes angoisses et mes rancoeurs. Et je veille à ce que jamais nul ne devine nos allégeance quelque peu discutables aux yeux de la société.
William est un ambitieux et mes fils le sont tout autant. Loriel fait la fierté de ce père auquel, pour mon plus grand désespoir parfois, il ressemble tellement ! A son âge il occupe déjà un poste important au ministère et, comme son père ne cesse de le répéter, il sera sans doutes un jour ministre. Et je sais que la présence à ses côtés de Pandore ne pourra que l'y aider. Cette jeune femme est aussi délicieuse que vénéneuse et je n'avais pas le moindre doute quand je l'ai choisie pour épouser mon premier né.
Kiriel est sans doutes le fils le plus rebelle de mes trois enfants. Et il fait aussi bien le plus grand désespoir de son père que ma fierté à moi. Certes il a préféré la gynécologie obstétrique à une autre spécialité plus prestigieuse mais si là est son bien être pourquoi l'en blâmer ? J'adore mon fils. Au point d'en avoir fait le complice de mes aventures mais, aussi, au point de lui pardonner toutes ces incartades, ces aventures qu'il enchaîne avec des filles que je ne peux que mépriser ! Mais je ne lui en dis rien, ou si peu. Et puis je lui ai trouvé la parfaite petite fiancée pour lui. Non, en fait l'ironie de cette histoire, c'est que la petite Candy et lui se sont trouvés tous seuls. Je n'ai fait que veiller à ce qui aurait sans doutes été une simple histoire d'un été romain ne devienne l'histoire de toute une vie. Elle est jeune, très jeune, et encore bien innocente. Et, lui, avant même que de savoir qui je lui destinais, avait accepté cette union pour me satisfaire. Pourtant je connais mon fils et, bien qu'il ne renonce pas à ses vilaines habitudes, je vois bien la façon qu'il a de regarder sa fiancée. Elle est différente à ses yeux. Tant mieux...
Raziel est le petit dernier, celui sur lequel je veille encore un peu trop jalousement, ayant du mal à accepter de le voir grandir et s'émanciper. Des trois je pense qu'il est celui dont le caractère est le plus proche du mien. Doux et tendre il ne doit probablement le respect de son père qu'à cette faculté qu'il doit tenir de moi et qui lui permet de masquer ses émotions. Il est mon bébé, mon petit canard à moi et je l'adore ! Je suis très fière de voir qu'il a rejoint Poudlard et y enseigne l'une des matières que je juge la plus noble : l'histoire de la magie. Mon fils est intelligent, posé et je le vois bien, torturé par ses engagements envers les Mangemorts. Officiellement je ne lui ai choisi Penny Moriarty comme fiancée que pour la pureté de son sang et parce que son si faible -pour ne pas dire néant- statut social éloignerait de nous les rumeurs selon lesquelles nous serions élitistes. Pandore et Candy ont le sang pur et des familles importantes et richissimes. Penny, elle, est serveuse et fait du bénévolat. Tout ce que j'exècre et méprise. Mais tout autant de choses qui, à mon canard, ne pourront que plaire. Si j'avais suivi mes critères Penny n'aurait pas eu la moindre chance de rejoindre notre clan. Mais, puisque seul compte le bonheur des miens, je suis persuadée qu'elle est l'épouse rêvée pour Raziel.
Voilà ma vie ou du moins ce qu'il me plait de vous en confier pour le moment... Demi-vérités, secrets ou illusions parsèment peut-être mes mots... Ou peut-être pas... Je suis Maria Roolwood et je ne dois ma loyauté et ma fidélité qu'aux miens ! Les autres ? Quels autres ?
* Nom/Pseudo : Whispy, Frangine, Chouchounette, Ma douce et Irl c'est souvent... Ca ne vous regarde pas ! * Age : * Avez-vous signé le règlement ? : ouaip ^^ * Comment avez-vous connu le forum ? je l'ai fondé xD * Comment le trouvez-vous ? hideux ! * Une déclaration à faire ? J'ai soif !
Hoooooooooooo chéri Si je le pensais seulement ! Il est sublime ! Pour une fois que je jouais ma modeste tu me casses la baraque Allez va faire des bébés avec ta femme toi
Chéri tu es incorrigible mais c'est bien comme cela que je t'aime Oui, TA femme, j'ai dit et j'assume mais méfies toi avoir Themis pour femme c'est pas de tout repos hein
Merci Pikachuuuu namour namoi (ouais j'ai vu ça c'est bien ! T'auras le droit à une sucette ou même à un tC tiens ) Lizzie demande si elle peut te piquer ta clope pour le coup