Doux, gentil, patient, protecteur, calme, bavard, attentionné, Accueillant, Apaisant , Concentré , Consciencieux, Délicat , Dévoué,
Enthousiaste Fidèle, Franc, Joueur, Joyeux, Loyal, Mature, Passionné , Prudent , Sage, Sécurisant, Serviable, Tendre, Tolérant , Vrai.

21 Avril 1971 :

-Tu y es presque ma chérie.

Sans un cri ni même une grimace de douleur la femme continua à pousser dans un silence troublant même pour son mari. Cela faisait maintenant plus de trois heures que la pauvre femme était a proprement parlé déchiré par ce petit être qu’elle avait tans désirés. Si fière avait-elle étai quand elle avait annoncé a son si aimait mari qu’enfin au bout de tant d’attente qu’un héritier aller enfin voir le jour. Et aujourd’hui encore alors que la douleur ne la ménager pas, elle était toujours aussi fière et aussi courageuse.  Encore une heure se passa avant qu’enfin le petit garçon ne vienne au monde. Et malgré l’épuisement total de cette pauvre femme, elle affichait un sourire heureux qui fit fondre en larme son mari.

-Enzo. Avait-elle alors prononcé en chuchotant avant de sombrer dans un profond sommeil.

26 Août 1979 :

-Maman je ne suis pas d’accord.

Devant la vente déjà bien arrondie de sa mère Enzo une fois de plus était en plein caprice.

-Voyons mon trésor tu n’es pas heureux de voir tes deux sœurs arrivaient parmi nous. Comme à son habitude la mère du petit garçon avait parlé avec une extrême douceur. D’ailleurs en remontant le plus loin qu’il puisse s’en souvenir jamais il n’avait entendu sa mère se mettre en colère, pas même quand il avait cassé la vase en cristal cadeau de mariage de sa grand-mère.

-Je ne veux pas de sœurs.

Presque en pleur le petit garçon se retira vivement dans l’atelier de son père, son refuge depuis qu’il avait appris à marcher. Combien de fois sa mère l’avait retrouvé en boule sur une chaise en train de dormir ? Combien de fois s’était-elle disputée avec son mari a ce propos ? Des centaines et des centaines de fois et pourtant à chaque fois le manège était le même.

-Enzo tu n’as pas le droit d’être là, tu sais que papa risquerait de se mettre en colère si jamais il te trouvait ans son atelier alors qu’il n’est pas là.

Tout en faisant semblant de ne pas avoir entendue sa mère, le petit garçon se mit en boule sur son fauteuil préféré. Le cuir était tout troué et l’on avait du mal à encore en distingué la couleur, mais pour Enzo ce fauteuil était simplement le meilleur du monde c’est celui que son père se servait pour lui raconter ces folles histoires sur les grands sorciers du monde, mais aussi sur les différentes découvertes moldu. Avec sa délicatesse habituelle la mère vint se poser juste à côté du petit garçon, doucement elle lui saisit la main et lui la posa sur son ventre. D’abord septique le petit garçon voulu retiré sa main, mais à ce moment-là une de ses petites sœurs décida de se manifester et donna un coup de pied à l’endroit qu ’Enzo était en train de toucher.

-C’est quoi ça maman.

Un sourire franc et plein de tendresse naquit alors sur les lèvres de sa mère. –C’est une de tes sœurs qui vient de te dire bonjour mon ange, je crois qu’elles t’aiment déjà.

Tendrement le petit garçon posa alors sa tête sur son ventre avant de prononcé des mots que même sa mère ne put entendre.


15 Septembre 1983 :

Chers parents,
Ma rentrée c’est très bien passé, la cérémonie est exactement comme vous me l’avez tans de fois raconté. Sauf pour le professeur Dumbledor . Sinon je viens de faire mon entré a Serdaige, comme toi maman. J’aurais aimé être a Gryffondor, mais le choixpeau en as décidé autrement.
Enfin je suis heureux ici.

Je vous aime Enzo.

26 Octobre 1988 :

Assit dans son fauteuil le jeune homme regardé son père avec attention. Enzo avait fait son choix, il savait maintenant ce qu’il ferait après avoir fini ses études a Poudlard. Et pour ça le jeune homme avait besoin de son père pour lui apprendre tout ce qu’il savait. Car oui il allait, lui aussi devenir un fabricant de baguette, tout était déjà prévue dans sa tête, il viendrait travailler avec lui au début et cela jusqu’au moment où il serait trop vieux pour continuait et a ce moment-là Enzo reprendrait l’entreprise que son paternel avait eu tant de mal à construire. Mais alors que le jeune homme était perdu dans sa rêverie, quelque chose ne se passa pas comme d’habitude. Un bruit sourd le fit alors sursauté et quand enfin il reporta son attention sur son père, il le vit là sous ses yeux, totalement immobile sur le sol froid de son atelier. Sans vraiment savoir quoi faire le jeune homme commença à s’agitait sur le corps sans vie de son père, cherchant par tous les moyens à faire de nouveau couler la vie dans les veines de celui qui lui avait tout donné. Mais rien ne se produisit, il eut beau faire usage de tous les sortilèges apprit en classe, de faire tous les gestes apprit dans les livres moldu, rien, il était simplement trop tard pour sauver la vie de son père. En l’espace d’un instant sa vie venait radicalement de changer et son choix de vie aussi. Même si cela aurait été le rêve de son père de le voir poursuivre dans la fabrication de baguette. A la fin de ses études il entrerait donc a l’université afin d’y poursuivre des études pour devenir médicomage.

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