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Il y a des êtres qui au premier abord peuvent donner l’impression d’être froid et d’une violence à faire peur. Mais au milieu de cela, il y a les êtres comme Shane qui sont bien au-dessus de tout ça. Certes, au premier abord son allure peut donner quelques sueurs froides, mais en poussant un peu plus il est facile de découvrir l’homme qui ce cache derrière cette façade de froideur. Vous découvririez alors homme des plus délicieux, galant et courtois. Elever par sa mère dans les règles de l’art, il sait ce que vivre en société veut dire et même si part moment cela lui donne un air snob, il est tout aussi a l’aise dans des milieux beaucoup moins aisés.

Son père lui, lui à inculquer les valeurs de la famille, l’honneur et surtout le mérite du travail, étant issus de la catégorie moins fortunée de l’Irlande, il a prouvé a son fils comme au reste de la famille que la sueur versé valait tout autant que la paye toucher a la fin du moins. Un tableau plutôt idyllique au premier abord qui en ferait presque oublier la vraie nature de cette famille. Mais ce n’est là que le tableau plutôt flatteur d’un jeune homme pouvant être beaucoup plus de chose, après tout on ne devient pas bras droit du père sans en payer le prix.

Il s’est très vite avéré que Shane pouvait être bien plus qu’un beau visage dans une salle de réception pleine à craquer. Sa nature avenante et son franc parler on fait de lui un fin négociateur, préférant tant qu’il le fallait l’usage des mots a celui de la violence. Pas qu’il n’en soit pas capable attention, le faite d’être plus intelligent que la moyenne ne fait pas de lui quelqu’un de trouillard, disons juste qu’il n’aime pas ce salir les mains quand cela n’est pas nécessaire. Après toucher a sa famille et vous verrez ce qui se cache derrière son sourire charmeur. Nous avons tous après tout une part de noirceur en nous et Shane ne fait sûrement pas exception à cette règle et honnêtement il n’est pas bon pour la santé de réveiller cette part d’ombre chez le sorcier. Disons que son éducation a fait qu’il a poussé plus en avant son apprentissage de la magie et qu’il est en quelques sorte devenu ce qu’on peut appeler un expert dans tout ce qui est magie noire, sa préférence allant largement a l’art subtil des potions. Rien de plus distrayant a ses yeux que de voir un être subir de l’effet plus que néfaste d’une simple goûte de liquide mélanger a un autre. Maintenant s’il faut se salir les mains, il n’hésitera pas à le faire et même si la torture n’est pas ce qu’il préfère il ressent comme une curiosité maladive à faire subir aux autres, une expérience parmi tant d’autre qu’il aime faire pour se distraire.

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-Il est temps !

Le père avait alors tapé du poing sur la table, il était le chef de famille, donc il était de son devoir de décider ce qui était pour le bien ou non de ses enfants. Trop de temps passé en compagnie de gens du monde, trop de temps dans ces maudites réceptions mondaines, de quoi faire oublier les origines d’une personne et ça l’homme ne pouvait le tolérer surtout quand il s’agissait de son fils aîné.

-Il est grand temps que tu sortes des jupons de ta mère, une loque voilà ce qu’elle est en train de faire de toi. À ça pour prendre une coupe tu es doué, mais cela ne te donnera sûrement pas les reines de la famille.

Il n’y avait rien de plus à dire l’homme était déçu par ce comportement qu’il jugeait indigne a ses yeux, pour lui il était grand temps que son fils devienne enfin ce qu’il avait toujours attendue de lui, qu’il retrouve cette rage propre a ses origines Irlandaise. Le voir agir ainsi lui donner la nausée, le voir avec toutes ces femmes et ces hommes à se comportait comme un parfait petit Anglais. Non ça il était hors de question qu’il le tolère, la fortune de la famille ne s’était pas faite en léchant les culs de tous ces abrutis, non sa fortune était basé sur le sang et la souffrance, la douleur de ceux qui avaient eut l’extrême bêtise de les prendre pour des moins que rien.

-Il me semblait pourtant avoir fait mes preuves. Les temps ont changé et l’on ne gagne pas seulement une guerre par la violence. Pour vous mes agissements font de moi un être faible alors que pour moi cela ne fait qu’augmenter ma force. J’en ai appris plus sur ces familles que vous détestez en deux dîner mondain que vous en deux années de guéguerre.

Shane sourit alors devant la mine peut réjoui de son père, jamais son fils n’avait osé lui parlait ainsi, jamais il n’avait pris le parti de le contredire aussi ouvertement. Pourtant et même si cela le chiffonnait de l’admettre, jamais il n’avait vu son fils aussi sûr de lui. Il pensait que sa mère n’avait fait que le ramollir, lui bourrant le crâne de toutes ces choses parfaitement inutiles pour un futur chef de famille.

-Comment croyez-vous que j’ai réussi trouver certain de vos plus illustre ennemi mon père, il m’a suffi des bons mots, des bonnes paroles à certaine personnalité haut placé pour savoir exactement ce que je voulais et tout ça l’air de rien. Avait vous été déçu une seule fois du travail accompli ? Jamais tous ceux à qui vous vouliez la mort l’ont eu et sans la moindre pitié, j’ai fait tomber les têtes que vous vouliez voir tomber que vous faut-il de plus ?

Rien effectivement il ne fallait rien de plus à l’homme pour savoir que sa famille serait entre de bonnes mains quand il viendrait à mourir. Son fils avait l’air contre toute attente prête à endosser ce rôle, avec des méthodes différentes des siennes, certes, mais pour autant cela avait clairement apporté le résultat escompter.

-Je voulais être sûr, savoir ce que tu avais dans le ventre avant de passer de l’autre côté et de te voir ainsi me tenir tête me prouve bien que tu es plus digne de devenir le chef de famille que je ne le pensais. Tu le sais, tu devras veillait sur ton frère ainsi que son épouse, fait en sorte que la famille reste ce qu’elle a toujours été et surtout n’oublie pas la famille passe avant tout.

Sur ce sujet il y avait un désaccord que le sorcier ne mentionna pas, il était certes sûr de lui, mais pas fou au point de risqué la mort face à son père. Il veillerait donc sur la famille le jour venu, même si toute son attention risquée d’être légèrement dirigé vers la seule et unique personne qui avait le don accaparer son esprit depuis qu’elle était entrée depuis peu dans la famille.