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 M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux

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Nephilim
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Localisation : Dans un avion en partance pour l'enfer
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Alexandre De Habsbourg
Alexandre De Habsbourg

Nephilim
MessageSujet: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 9:12

ID CARD
Nom : De Habsbourg
Prénom : Alexandre
Sang : Sang-Mêlé
Âge : 28 ans
Nationalité : Français par son père, Britannique par sa mère
Métier : Artiste (oui maman, c’est un métier)
Statut : xxx
Orientation sexuelle : hétérosexuelle

Célébrité : Jonathan Rhys Meyer
CARACTERE
Dix adjectifs minimum.
Farceur - Intelligent - Manipulateur- Corrompu & Corruptible - Hypocrite - Charmeur - Fumiste - Bohème - Opportuniste - Charismatique - Créatif
HISTOIRE
Cinq cent mots minimum.


Manoir Habsbourg, Alexandre 7 ans

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 70Il n’y avait sans doute rien de plus barbant que les cours de Miss Salinger ! Elle était sa préceptrice depuis déjà deux ans et Alexandre la détestait cordialement. Mais bon, de toute manière, bien peu de chose trouvait grâce à ses yeux, en dehors des disciplines artistiques, qui elles, au moins, lui étaient enseignées par son père, lequel y tenait absolument.
Et il aurait bien aimé que sa maman s’occuper du reste, à la place de cette vieille bique même pas drôle, qui venait de lui mettre une pichenette derrière la tête, pour qu’il replonge le nez dans son cahier, plutôt que de contempler les nuages, par la fenêtre. Sa mère, elle n’aurait jamais eut le temps pour ça qu’elle disait. Elle était toujours super occupée et ça arrivait souvent, qu’ils se retrouvent seuls avec son père, dans leur grande maison. Quand on lui demandait ce qu’elle faisait comme métier, Stella de Habsbourg répondait qu’elle était révolutionnaire. Mais quand on demandait aux grands-parents d’Alexandre ce que leur fille faisait dans la vie, ils répondaient plutôt, qu’elle brassait du vent, tout en levant les yeux aux ciels. Ses parents étaient un peu cinglés, tous les deux, mais lui, ça ne le dérangeait pas du tout et ça le dérangea d’ailleurs encore moins, quand sa maman déboula soudainement dans la salle de classe improvisée, tenant par la main, une petite fille minuscule, aux cheveux presque blancs. Les enfants n’étaient pas légion dans le coin et il se demandait bien qui elle pouvait être.

- Madame Habsbourg…
- Je vous ai dit mille fois de m’appeler Stella.

Affichant un sourire rayonnant, le regard de sa maman était presque tout de suite venu se poser sur Alexandre.

- Approche mon lapin.

Il s’était exécuté, mais avait affiché une moue indignée, en entendant sa mère l’affubler de ce surnom ridicule, devant cette fille qu’il ne connaissait même pas ! D’ailleurs, il croyait bien l’avoir entrevue se moquer, là, maintenant, tout de suite.

- Je te présente Faustine ! Ses parents vont s’occuper de la maison, dorénavant, à la place des elfes de maison. Et elle, elle va être ta nouvelle copine.

Alexandre avait froncé le nez, tout en détaillant la petite fille, pendant que sa mère expliquait à Miss Salinger, qu’elle voulait que la gamine soit traitée comme l’était son fils, ni plus, ni moins. Elle entendait bien donner à cette enfant, toutes les chances dans la vie, le genre d’éducation que ses parents n’étaient pas en mesure de lui donner, faute d’argent. Le regard du petit garçon passa un moment de sa mère, à cette fille, avec sa drôle de dégaine et ses chaussures toutes abimées. C’était un peu comme quand elle lui avait offert ce hamster, mais en beaucoup plus marrant et finalement, il esquissa un sourire assuré, avant de prendre Faustine par la main, pour qu’elle vienne s’installer à côté de lui. Répondant à l’au revoir de sa mère, qui sortait de la classe en agitant la main dans leur direction, pour ne pas les déranger plus longtemps, il se pencha sur sa nouvelle camarade, pour lui souffler à l’oreille, tout en lui pinçant le bras.

- Elle craigne tes chaussure, Titine.

Manoir Habsbourg, Alexandre 9 ans

Elle avait râlé, évidemment, mais elle avait fini par le suivre, comme d’habitude. Les bêtises, c’était toujours lui qui les initiait, elle, tout ce qu’elle voulait, c’était travailler, travailler, travailler, surtout lorsqu’il était question de magie ! Qu’est-ce qu’il s’en fichait, pourtant, non, de d’apprendre par cœur des incantations qu’ils ne pouvaient même pas encore lancer ? M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385719958039384800
Et puis, lui, il avait entraperçu ce livre, l’autre jour, que son père n’avait pas voulu lui montrer et avait rangé tout en haut de la plus haute des étagères de son bureau ! Et s’il devait être hors de portée, c’est qu’il était certainement super méga intéressant, non ?

Alors, ils avaient attendu que Miss Salinger ait le dos tourné, pour lui fausser discrètement compagnie, avant de se précipiter en courant dans les couloirs, pour rejoindre le bureau de Monsieur Habsbourg. Alexandre savait que comme tous les matins, il était à l’atelier, pour peindre, alors, ils avaient le champ libre ! Arrivé le premier à la porte, il avait exulté, avant de tourner le loquet.

- Je t’ai encore battue Titine.

A la course, toujours ! Et puis finalement, il était entré, la laissant vexée sur le seuil, avant de lui prendre la main et de la tirer à l’intérieur, avec un soupir de petit tyran. Perplexes, ils avaient ensuite observé la grande étagère, avant de se résoudre à l’évidence… Il allait falloir grimper.

- Vas-y Titine, t’es la plus légère. Va me chercher le livre, c’est le gros rouge.
- C’est débile, j’en veux même pas, moi ! Et arrête de m’appeler comme ça !

Affichant sa moue la plus irrésistible, il avait passé sa main le long du bras nu de la petite fille, avant de poser une bise sur sa joue.

- S’il-te-plait Faustine, t’es la meilleure.

Alors, finalement, elle avait commencé son ascension, en râlant, mais elle l’avait fait et Alexandre avait souri, sournois, en la regardant faire. Ce qu’il ne s’était pas imaginé, par contre, c’était que le lourd meuble d’acajou pourrait basculer… Et c’est ce qu’il fit, écrasant la petite fille de tout son poids, sous le regard finalement horrifié, de l’insupportable petit Lord ! Paniqué, elle n’avait probablement du sa vie sauve, qu’au fait que pour la première fois, la magie d’Alexandre s’était exprimée, faisant léviter le lourd meuble.

Ca n’avait pas évité à la petite fille d’être alitée pendant deux longues semaines, deux semaines où son petit tortionnaire avait refusé de quitter son chevet, dormant même avec elle pendant la nuit, veillant sur elle comme un grand frère plein d’affection. Le dernier soir, ils avaient discuté longtemps, longtemps et juste avant de s’endormir, il avait murmuré, déjà à moitié tombé dans le sommeil.

- T’es comme ma p’tite sœur, Titine…

Poudlard, Alexandre 11 ans

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385721916036288400Poudlard, enfin ! il avait attendu ça avec tellement d’impatience, s’imaginant le château dans les moindres détails. Sauf que, ce qu’il n’avait pas imaginé une seule seconde, par contre, c’était découvrir bien plus fascinant que ces vieilles pierres… Bien plus exaltant aussi, sans conteste. Elle avait débarqué dans le compartiment du train, qu’ils occupaient avec Kendrick, le fils d’un vieil ami de la famille et tout de suite…
Tout de suite… Il avait pensé que cette petite poupée aux allures si fragiles serait à sa botte, un peu comme Faustine. Que Nenni. Elle avait levé son petit nez, hautaine, bien décidée à les mener à la baguette, tous les deux et c’est ce qu’elle fit, tout au cours de cette année, où ils devinrent inséparable, tous les trois. Seulement le leader, dans l’histoire, ça avait toujours été elle. Elle n’avait qu’à battre des cils pour que les deux garçons accourent et si Alexandre jouait de ses grands airs avec les autres, avec elle, il se sentait comme exposé, ouvert, à sa merci et il adorait ça, bien plus qu’il ne l’aurait cru possible. Ils régnaient sans partage sur la tour des aigles…

Mais ce qu’ils auraient tous du éviter d’oublier, c’était que deux ça va… Trois c’est trop !

Aux premières vacances, il avait trépigné pour avoir l’autorisation d’inviter Samara à la maison et l’avait obtenue, après moult négociation avec sa mère. « Mon lapin, tu manques beaucoup à Faustine, peut-être devrais-tu lui consacrer ton temps, plutôt que d’inviter ton amie, pendant ces vacances ! » Tu parles, elle ne lui avait même pas écrit une seule fois ! Alors que lui, il n’avait pas arrêté, au début, pour lui expliquer avec moult détails, l’école et surtout, sa nouvelle passion, cette petite fille aux allures de poupée… Tu verras comme elle est belle, petite sœur… Et zéro réponse !

Il avait tout de même été content, de revoir Faustine, en rentrant à la maison, mais plus content encore, de voir finalement débarquer Samara, au bout de quelques jours. Les deux filles, elles, s’étaient détestées dès le premier coup d’œil et il avait bien fallu choisir. Titine, elle serait là pour toujours, alors que sa petite obsession, elle, n’était seulement à lui tout seul, que pour un temps limité, avant qu’ils ne retournent à Poudlard.

- Elle, c’est Faustine, c’est la fille des gens qui s’occupent du domaine… Viens Samy, je te fais visiter.

Ouais, deux ça va… Trois c’est trop !

Poudlard, Alexandre 14 ans

Cette année était spéciale, parce que Faustine rentrait à Poudlard. Il avait eut beau feindre l’indifférence, quand on les avait accompagné sur la voie 9 ¾ , avant d’aller rejoindre ses amis et de l’abandonner à son sort, en réalité, c’était tout le contraire ! M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385733647032192600
Quand elle avait finalement débarqué, avec les autres premières années, il avait guetté sa chevelure blonde parmi les autres élèves et avait croisé ses doigts sous la table, pour qu’elle le rejoigne à Serdaigles. Mais cette fois, la chance avait fait faux bonds à celui qu’on appelait pourtant Lucky, puisque toujours, il n’en manquait jamais ! Ce maudit choixpeau débile l’avait envoyée à Serpentard et il avait jeté un regard noir à la table des verts et argents, où elle avait été très vite entourée. Il avait pensé qu’elle chercherait sa compagnie, ça n’avait pas été le cas ! Elle ne semblait même pas du tout s’intéresser à lui, là-bas, au milieu de tous ces autres, qui n’auraient jamais du l’approcher. Elle lui appartenait, depuis toujours… Et il n’avait jamais été très doué pour partager. Ce soir-là, il n’avait pas touché à son assiette et quand Samara lui avait demandé qu’elle mouche le piquait encore, il s’était contenté de partir, tout seul, pour les dortoirs. Pas envie de parler, pas même à elle.

Les jours suivants avaient été pires ! La voir évoluer en marge de lui était une torture et n’y tenant plus, un jour sinistre du mois de décembre, il l’avait attendue, à la sortie d’un cours de DCFM, taciturne, appuyé contre le mur froid. Quand elle était sortie, accompagnée de plusieurs amis de son âge, il s’était contenté de la prendre par la main et de l’emmener plus loin, refusant de la lâcher alors qu’il sentait ses petits doigts se tordre sous sa poigne, pour y échapper. Arrivés à l’autre bout du couloir, là où on ne pouvait plus les entendre, mais toujours les voir, il l’avait attirée à lui et posé ses lèvres contre les siennes, pour un vrai baiser… Ces baisers d’amoureux pour lesquelles elle était certainement bien trop jeune, sa petite Titine. Et quand il avait senti qu’elle arrêtait enfin d’essayer de le repousser, de ses mains contre son torse, son cœur s’était mis à battre bien trop fort.

Pourtant, quand il l’avait finalement relâchée, un sourire sybillin s’affichait sur ses lèvres, alors que de sa voix rendue bien trop rauque, il lui avait soufflé, tout bas.

- Maintenant ils le savent tous, que tu es à moi.

Ce soir-là, pourtant, c’était lui qui allait se prendre une sacré claque, en rentrant dans sa salle commune et en retrouvant ses deux meilleurs amis, tendrement enlacés. Comment est-ce qu’il avait pu passer à côté d’un truc pareil ? Faustine ! Evidemment ! S’il n’avait rien vu venir, c’était parce qu’il s’était bien trop occupé de Faustine ! Il avait serré les poings et n’avait rien dit. Il avait souri et fait comme si ça ne le touchait pas, mais sitôt hors de vue, il s’était défoulé d’un coup de poing contre un mur.M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385729217093072300
Poudlard, Alexandre 15 ans

Les filles, les fêtes, l’alcool, les bagarres… Et l’art, sous toutes ces formes, sous toutes ses coutures, dans tous ses travers et dans toute son ivresse, dans sa violence et ce qu’il a de plus pur. Si Alexandre était toujours aussi proche de Samara, il s’était éloigné par contre de Kendrick, qu’il ne pouvait plus voir en peinture. Faire semblant avec elle, c’était acceptable, faire semblant avec lui…M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385734906060853100
C’était intolérable ! Ce soir-là, ils fêtaient tous la victoire de leur équipe de Quidditch à un match, et c’était bien assez rare pour l’arroser copieusement. Kendrick avait été le héros malheureux de l’affaire, il avait attrapé le vif d’or, mais il se retrouvait à l’infirmerie et c’est bien connu, quand le chat n’est pas là, les souris dansent. De toute manière…

Oui, de toute manière, il ne la méritait pas ! C’était ce qu’Alexandre se répétait, depuis que Samara était venue se coller à lui, pour une danse qui n’avait plus grande chose d’innocente, depuis déjà quelques minutes. Et puis, il n’était même plus son ami, ce sale con, elle, par contre… Elle, elle l’obsédait toujours autant. Combien de fois est-ce qu’il avait du la consoler comme ce bon pote qu’il n’avait plus aucune envie d’être, à chaque fois que cet idiot lui faisait du mal ? Bien trop souvent ! Alors, quand il l’avait sentie s’abandonner contre lui, il l’avait embrassée, tendrement, puis, comme si ça vie en avait dépendu.

Le lendemain, il s’était réveillé dans le même lit… Et le surlendemain… Et le surlendemain ! Kendrick leur avait juré la guerre et finalement, il l’avait gagnée, en quelques sortes. Les mauvaises habitudes étaient là et Samara avait mis fin au rêve, beaucoup trop tôt ! Elle l’aimait trop pour continuer, c’était ce qu’elle lui avait dit. Ils étaient des amis. Il avait acquiescé. Et elle ne voulait pas le perdre, ils étaient trop jeunes pour que ce soit sérieux. Et il avait accepté…

Pourtant, il avait mal à en crever !

Manoir Habsbourg, Alexandre 18 ans

Faustine était allongée sur le ventre dans le grand parc de la propriété, le nez dans un bouquin de sortilège, abritée du soleil par le grand chêne, sous lequel ils avaient pris l’habitude de venir se poser, quand il faisait bien trop chaud. Concentrée, elle essayait de faire abstraction d’Alexandre, non loin d’elle, au prise avec sa nouvelle lubie…M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385738553079228400
La photo, il adorait vraiment ça, presque autant que la peinture et il s’était dit que peut-être, il trouverait le moyen d’allier les deux et de révolutionner l’art… Ou pas ! Au début, il était vraiment concentré sur le mécanisme de son appareil et puis, son regard avait dévié sur les jambes nues de Faustine, qui battaient l’air. Sa jupe était remontée sur ses cuisses si pâles et il avait pu dire adieu à sa concentration. Sourire aux lèvres, il s’était allongé à côté d’elle, le coude planté au sol, la tête dans la paume ouverte de sa main et il l’avait fixée, un long moment, jusqu’à ce qu’à ce qu’agacée, elle se décide à parler.

- Tu veux quoi Lapinou ?

Ca devait l’intéresser, ce qu’elle était en train de lire, pour qu’elle cherche à ce point à l’énerver en quelques mots à peine. Taquin, il avait posé ses lèvres sur son épaule, avant de revenir sagement en place, la regardant avec des yeux pleins de malice.

- J’me demandais si tu serais d’accord que je te prenne en photo.
- Depuis quand t’as besoin de ma permission pour me voler mon image, tête de boursouf ?
- S’pas pour un portrait Titine ! J’veux prendre des photos de toi…

Il avait souri, avant de laisser courir son doigt le long de son bras. Et puis, il avait avancé son visage vers le sien, pour finir, tout bas.

- … Toute nue !
- Non mais t’es taré ?

Alexandre avait éclaté de rire, avant de se laisser tomber en arrière, s’allongeant dans l’herbe tendre.

- C’est de l’art !
- Pervers !
- Pas de photo alors, je te peins !
- Dans tes rêves !
- Tant pis, je demanderais à Samara, elle acceptera, ELLE !

Il savait très bien que c’était là qu’il fallait frapper, pour lui faire mal et il avait gagné. Furieuse, elle s’était levée et l’avait planté là. Mauvaise tête ! Elle n’avait qu’à dire oui, après tout c’était elle qu’il aurait voulu esquisser et c’était un privilège ! Elle comprenait jamais rien !


Londres, Alexandre 21 ans

C’était le deal qu’il avait fait avec sa mère. Elle lui avait laissé prendre cet appartement à Soho et intégrer cette troupe de théâtre moldue et en échange, il irait faire ce stage débile à Gringott’s, que son grand-père lui avait dégotté ! Autant dire qu’il n’était pas impatient d’arriver au bout de son contrat !M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385739251044269800
Ce soir-là, c’était la première et toute sa famille était venue l’applaudir, dans ce théâtre tout ce qu’il y a de moins magique ! Non, c’était sur scène que la magie opérait et lui, il était tout simplement magistral dans son rôle. A la fin de la représentation, il avait été acclamé et plus tard, après s’être changé, il avait rejoint ses parents, les Everett et Faustine, tellement femme dans cette robe qui lui allait à ravir. Il les avait remerciés et puis, il l’avait enlevée. Elle avait 17 ans maintenant et même si elle était encore à Poudlard, il pouvait emmener sa « petite sœur », faire un peu la fête, non ? Il veillerait sur elle comme sur la prunelle de ses yeux, promis !

Et c’est ce qu’il avait fait, ou presque, la trainant dans des boîtes de nuit jusqu’au petit matin, la protégeant jalousement de tous ces types qui la lorgnait sans la moindre discrétion. Ils étaient à Soho et il lui avait demandé de monter à son appartement, il voulait absolument lui montrer ! Et puis, il fallait qu’elle boive un café, avant de rentrer, qu’elle dessaoule un peu où les parents lui tomberaient dessus. Et puis, il avait promis à sa mère de lui parler, mais ça, elle n’était pas obligée de la savoir tout de suite…

Il avait une table, il n’avait pas de chaises ! Il régnait un bordel monstrueux, dans cet appartement et attendant patiemment son café, elle s’était assise sur la table, laissant ses jambes se balancer dans le vide. Avec un sourire, il lui avait apporté sa tasse, s’insinuant entre ses genoux, avant de poser ses mains à plat sur la table, de chaque côté d’elle.

- Ma mère s’inquiète de tes fréquentations à Poudlard.

Elle avait haussé les épaules, l’air de rien, tout en sirotant sa boisson.

- Je devrais m’inquiéter aussi ?
- Comme un grand frère ? C’est trop mignon !

Faustine avait posé sa tasse sur la table, avant de se pencher arrière et de le regarder, mutine et un brin boudeuse. Il aurait du rester sérieux, il n’y parvint pas et un sourire vint étirer ses lèvres.

- Comme un ami ?
- J’ai pas besoin de ton amitié.
- T’as besoin de quoi alors ?

Il ne riait plus et ses mains étaient venues caresser la peau douce de ses jambes, s’insinuant doucement sous sa jupe.

- Tu peux pas comprendre.

Elle l’avait repoussé, avant de sauter à terre, et de lisser sa robe, comme si elle avait voulu en chasser encore plus, le souvenir des gestes d’Alexandre. Agacé, il avait fait claquer sa langue contre son palais.

- Explique alors !
- Et si tu t’occupais de Samara, pour changer ?
- Elle est avec Kendrick en ce moment.

Et après, à qui le tour ?! Elle n’avait jamais su ce qu’elle voulait et il commençait à en avoir sa claque, même s’il savait pertinemment, dans le fond, que si elle revenait, il l’accueillerait à nouveau à bras ouvert, comme un pauvre con.

- Ah ouais, j’comprends mieux.
- J’vois pas ce qu’elle vient faire là-dedans... T’es belle.

Il avait placé ses mains sur sa taille, l’avait soufflé tout près de son oreille, avant de poser ses lèvres gorge pâle. Il avait envie d’elle si fort, elle non ?

- Ah, on parle plus de mes fréquentations ?

Il l’avait embrassée, comme pour la faire taire et elle l’avait repoussé, comme à chaque fois. Et puis, elle avait soupiré lourdement et elle était partie, le laissant comme un idiot. Et c’était con, c’était vraiment très con, parce que là, il ne voulait qu’elle et que tout ça, ça commençait à lui faire bien trop mal !

Gringott's, Alexandre 23 ans

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385745331018656800Il n'y avait pas à dire, travailler dans cette banque, c'était vraiment le comble de l'ennui ! Alexandre y était depuis deux ans maintenant et il avait déjà l'impression de mourir à petit feu... Seul façon de ne pas crever d'inanition ? Créer de petits drames pour se divertir.
Le pire, c'était encore que son manque flagrant de travail et ses petites manigances, ne l'empêchaient même pas de progresser au sein de Gringott's. C'était un peu son nom, un peu sa chance et puis, un peu le fait qu'il était charmant, qui expliquait cela, certainement... Mais en tout cas, il avait même réussi à se placer au-dessus de certaines personnes, là depuis bien plus longtemps que lui, à l'image de ce bouffon d'Uriel Linoge.

Celui-là, il avait les dents qui rayaient littéralement le plancher, à tel point que ça en devenait tout simplement ridicule. Derrière son dos, Alexandre avait pris l'habitude de l'appeler Hamtaro, accompagnant bien souvent le surnom de quelques croquis vite fait, pour mieux faire comprendre aux autres la blague et qui déclanchaient toujours, de grands éclats de rire. Il n'y avait pas plus travailleur que cet ancien Poufsouffle, après tout, alors, quand il lui cachait ses dossiers ou modifiait discrètement les chiffres de ses calculs, le tout nouveau supérieur de Linoge se disait qu'après tout, les heures supplémentaires, qui en découlaient, devaient être proche de la jouissance, pour ce clown incapable !

Il faut dire que le fâcher tout rouge était de plus en plus tentant... Alors, quand il en avait eu l'occasion, pendant cette fameuse réunion, il n'avait pas hésité une seule seconde a enfoncer le clou ! La fumée lui sortait presque des oreilles, à Linoge, ce jour-là ! Deux semaines plus tard, Alexandre quittait ce poste qui l'ennuyait tellement, de toute manière et puis, il avait une bonne excuse, pour avoir gentiment torturé ce crétin ! Non seulement Samara filait le parfait amour avec un crétin qui s'appelait Titinian... Thaltalane... Enfin, en truc comme ça, mais en plus, Faustine sortait avec Kendrick !

Dans son lit à lui, que des filles de passage qui lui laissait un goût amer ! Il avait besoin d'autre chose, il avait besoin d'art et d'ivresse ! Bye-Bye Gringott's, bonjour la vie d'artiste, enfin !

Cimetière de Londres, Alexandre 25 ans

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385746795053314400Son père semblait avoir pris dix ans en quelques jours et c'est ça, plus encore que ce corps qui n'était définitivement plus sa mère et qu'on avait enfermé dans cette boîte, qui lui noua la gorge. Il exhala un soupir lourd, alors qu'à côté de lui, Samara passait une main dans son dos, avant de poser sa tête contre son épaule.
Dès qu'elle avait su que Stella De Habsbourg était morte, elle avait été là, dormant même chez lui, pour ne pas qu'il reste seule. Et il devait bien avouer que ce que pouvait en dire son crétin de mari, où le fait qu'elle délaissait son enfant pour lui, il s'en fichait complètement. Égoïste jusqu'au bout des ongles... Et alors ? Il l'avait toujours été. Son parfum le rassurait, sa présence le ramenait des années en arrière, quand ils avaient été ensemble et qu'il lui avait permis de tout gâcher. Il l'aimait toujours... De toute manière, est-ce qu'il n'avait seulement que cesser de l'aimer un seul instant, pendant toutes ces années ? Elle exerçait toujours cette fascination étrange sur lui...

La cérémonie touchait à sa fin et s'il avait espéré que ça apaiserait sa colère, il n'en était finalement rien ! Là, au-delà de ce cimetière, la guerre continuait et elle, elle était morte à cause de ça, à cause de la folie meurtrière de Voldemort et de ses convictions surannées et stupides. Les mangemorts avaient fait irruption il y a cinq jours, au Manoir Habsbourg, pour y trouver des enfants né-moldus, cachés dans l'une des ailes. Stella s'était interposée, ils étaient ses protégés, ils étaient chez elle, ils n'avaient pas le droit de les toucher, ces sales vautours... Il l'avait fait taire d'un Avada Kedavra, officiellement... En réalité, son corps était tellement tuméfié, quand son père l'avait retrouvée, qu'ils l'avaient probablement torturée.

L'éclat d'une chevelure blonde attira son attention dans la foule et défaisant l'étreinte des doigts de Samara autour de son bras, il partit à sa poursuite, pour l'arrêter juste avant qu'elle ne quitte le cimetière. Sans ménagement, il l'avait attirée dans un bosquet, avant de la pousser rudement contre l'un des vieux chênes.

- Dis-moi que t'as rien à voir là-dedans !

Ses mâchoires s'étaient contractées, sous l'effet de la colère, alors qu'elle passait une main sur son bras, qu'il avait peut-être un peu trop serré.

- Je vois pas de quoi tu veux parler Alexandre.
- Me prends pas pour un con!
- J'peux même pas croire que tu me demandes un truc pareil!
- REPONDS!

C'était si dur que ça, de lui dire que non ? Une unique larme avait glissé le long de la joue de l'ancien Serdaigle, qui ne la lâchait pas des yeux. Un bruit derrière eux avait pourtant attiré l'attention de Faustine, qui avait penché légèrement la tête, pour voir Samara apparaître derrière eux. La désignant d'un mouvement de la tête, elle avait répondu, la voix tremblante.

- Et à elle, tu lui as demandé ?

Alexandre s'était retourné et en voyant sa petite poupée de porcelaine, si fragile, il avait cru flancher... Il l'avait observée longuement et finalement, après un dernier regard à Faustine, il était parti, seul.

Il ne savait pas ce qui c'était passé, entre les deux femmes, après son départ, mais ce soir-là, ce fut Samara qui vint le rejoindre... Pour ne plus le quitter. Les autres ne comptaient plus, il n'y avait plus que lui, il n'y avait plus qu'eux !

Londres, Appartement de Soho, Alexandre 26 ans

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385749521079146900La première fois qu'il l'avait entendu, Alexandre avait bien cru qu'il était devenu fou. Et cette fois, ça n'avait strictement rien à voir avec une douce folie créatrice, non, c'était carrément de la démence. Esdrael, l'ange du jugement, celui du sang... Venait lui proposer à lui, de devenir son hôte humain.
Ce soir-là, il avait du abuser sur le whisky, vraiment. Il avait travaillé tard dans la nuit, sur cette énorme toile, torse nu, couvert de peinture rouge, au milieu de son salon des plus spartiate. A l'extérieur, les étoiles zébraient le ciel de colère, donnant l'impression qu'il n'était qu'un fou en pleine transe, à chaque fois que les flash venaient l'aveugler. Et quand le tonnerre s'était tu, il lui était apparu, lui avait susuré à l'oreille, l'histoire d'une guerre à venir, dans lequel il serait l'ange du sang, celui d'une justice divine. Son rire avait résonné, alors qu'il se perdait dans une sorte de délire complètement fou. Il n'aurait sûrement pas du fumer cette herbe, que Lucan avait oublié chez lui, l'autre soir...

Le lendemain, quand il s'était réveillé sur son canapé défoncé, en fin d'après-midi, il avait cru à un rêve bizarre et il s'était tout de suite mis au travail. Il avait balancé un grand saut de peinture blanche sur ce qu'il avait fait la veille, se fichant éperdument de l'état du sole alentours et s'était mis à peindre, comme un dingue... Les longues ailes, le capuchon sur ses yeux d'un argent qu'il s'escrima à reproduire, s'énervant sur le manque de fluidité à s'en faire saigner les doigts. Quand Samara était arrivée, il l'avait à peine vue et elle était restée là, pendant presque une heure, à le regarder faire sans rien dire... Il avait fini par s'effondrer de fatigue et quand il s'était finalement endormi, sa tête sur ses genoux, elle lui avait fait promettre de la retrouver, le lendemain soir... Il avait cédé à Morphée finalement avec le goût de ses lèvres sucrées sur la bouche.

Mais rien ne c'était passé comme prévu. Alors qu'il allait partir, il était revenu, Esdrael... Il lui fallait une réponse et elle était venue comme seule, aux lèvres d'Alexandre, alors que défilait dans sa tête, le corps supplicié de sa mère, les cris de Samara, sur le cadavre de son enfant... Faustine, toute de noire vêtue, son corps si pâle souillé par une marque des ténèbres qui la dévorait de l'intérieur... L'Ange du sang... Il aurait du comprendre et alors qu'Esdrael prenait possession de lui, corps et âme, la douleur le transperça comme une lame géante, qui le fouillait jusqu'au entrailles.

Il n'avait rien de pur, lui... L'alcool, les filles, les plaisirs faciles, les moqueries, les humiliations, les bagarres... Pas digne, pas encore et alors qu'Esdrael le faisait expier par chaque pore de sa peau, il n'eut le temps que de lancer un seul sortilège, qui parti vers la personne dont le visage s'était imprimé si clairement, dans son esprit, en dernier... Faustine, Ma Titine, Ma rédemption, Mon Amour... Viens... Et le dragon argenté s'était envolé, pour aller trouver le sien.

Londres, Appartement de Soho, L'expiation

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385753230004032300Tout son corps n'était que douleur et il eut à peine conscience qu'elle était là... L'odeur de son parfum... Il l'avait respiré à plein poumon avant de hurler, comme si l'air qui entrait dans son corps le brûlait. Souffre ! Ressens ! Renais! La voix d'Esdrael résonnait dans sa tête, à le rendre sourd.
Sa voix, c'était sa voix qu'il entendait, ténue, derrière le bourdonnement à ses oreilles. Son corps s'était convulsé violemment, alors qu'il essayait d'articuler un mot, sans y parvenir Chuuuuuutttt Un sanglot violent lui échappa, comme lorsqu'il n'était qu'un gamin. Et alors qu'il tentait de happer un air qui lui manquait à nouveau, il eut la sensation qu'une dague froide venait s'enfoncer au fond de sa gorge. Souffre ! Ressens ! Renais! Il aurait voulu mourir ! Faustine, Titine, pourquoi ne l'achevait-elle pas ?

Et puis, l'inconscience ! Ses rêves étaient maculés de sang et alors quand il regardait ses mains, persuadé d'être réveillé, ce fut pour voir l'éclat vermeille à ses doigts... Du rouge, du pourpre, de l'écarlate... Du rouge, du rouge, du rouge ! Souffre ! Ressens ! Renais! Il hurla et essaya de se débattre, quelque chose tentait de le retenir, de le calmer ! Non ! Il devait voir Samara, Samara l'attendait... Il la voyait, là, son enfant supplicié dans ses bras et ses hurlements faisait exploser sa tête.

Et puis le noir ! Une minute ou une heure, une seconde ou une semaine ? C'était comme si le temps s'était enfui pour n'être plus que souffrance. Une main sur son front, de la fraîcheur... Maman ? Elle était là avec lui et il se détendit, l'espace d'une seconde, un sourire aux lèvres. Ouvre les yeux, mon lapin Mais quand il le fit, ce fut pour voir le visage de Stella, qui tombait en lambeau, la chair dégoulinant sur lui, monstrueuse... Tu aurais pu me sauver... Et il hurla, hurla de toute ses forces ! Souffre ! Ressens ! Renais!

Le blanc, total ! C'était de la lave en fusion, qui coulait dans ses veines. Souffre ! Ressens ! Renais!... Mais c'était supportable, cette chaleur après la douleur. Quand il ouvrit les yeux, il la vit, penchée au-dessus de lui, qui le regardait avec tellement d'angoisse au fond des yeux. C'était le dernier répit avant la mort ? Il n'était pas digne de cet ange, il le savait... Il aurait du refuser... Ne pas se laisser aveugler par le pouvoir...

- Samara... Préviens Samara...

Elle aussi, il devait la voir, avant de mourir.

Une minute ou une heure, une seconde ou une semaine ? A nouveau, ça recommençait, mais quand il ouvrit les yeux, ce matin-là, il n'y avait plus que des courbatures et de la fièvre. Et ce bourdonnement à ses oreilles, encore. Sa vision était floue... Il avait essayé de se redresser, avant de se laisser tomber contre le mur ! Il était dans son lit et Faustine était assise tout au bord. Et Samara ?

- .... pas venue... essayer...

- Quoi?

- .... enfant ... reste... non

- Menteuse !

Il l'avait giflée... Samara n'était pas là... Et sa mère ? Et sa mère, elle lui avait dit, il aurait pu la sauver... Et Faustine ? Faustine avait été la baguette du destin, ou celle de Voldemort, qu'importe... Et à nouveau, ce fut le noir, le noir, le noir, pendant plusieurs jours.Souffre ! Ressens ! Renais!

Londres, Alexandre 28 ans

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 1385755148041518500Deux ans ! Il lui avait fallu deux ans pour parvenir à s'accepter, à comprendre son pouvoir, à faire corps avec Esdrael... Il avait peint, il avait médité, il avait lu, il était resté pendait des mois, dans ce vieux monastère, en Italie... Il avait compris...
Et désormais, il était de retour ! La guerre, qu'elle vienne, il était prêt ! De ses anciens amis, il n'avait gardé contact qu'avec Lucan... Le seul à savoir également, pour son retour. Il lui avait promis de garder le silence, Alexandre avait confiance, contre toute attente... Il n'était plus ce gamin fou, désormais, il était l'Archange et sur l'épée de la justice, le sang des impurs allaient briller !

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Dernière édition par Alexandre De Habsbourg le Ven 29 Nov - 21:08, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 9:31

OWIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 692344990 M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3631237226 M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139

Je t'aime mon chouchou alien d'amour aux antennes Legilimens M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 692344990
Bon courage pour ta fiche et, bien évidemment, je te garde tes premiers Rp !
C'est toi qui es à moi ... pas l'inverse ! M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 2517296436

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MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 9:33


C'est beau de rêver Titine ! M'souviens bien du jour où j'ai défait le noeud rouge sur ta tête, j'devais avoir 7 ans quand ma mère m'a fait cadeau de toi Razz
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MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 9:35

Rebienvenuuuuue M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139 M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139 M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139
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MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 9:36

Ho mais je vois que cela ne s'arrange pas hein !
Avant tu rêvais maintenant tu fantasmes ?
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MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 11:59

Re bienvenue M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139
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Peste soit de la Luxure !
MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 17:15

Bon juste pour te dire ceci :

je suis te première fan et la plus grande c'est officiel M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139
C'est juste sublime M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3499019139
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Nephilim
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Nephilim
MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 21:09


Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh terminé Razz
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PNJ/MJ
MessageSujet: Re: M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux I_icon_minitimeVen 29 Nov - 21:15

M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 595090732 MON LAPINOUUUUUUUU M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 595090732

Accroches toi tes chevilles n'ont pas fini d'enfler mon chouchou parce que, oui, tu es désormais mon modèle absolu ! Ta fiche est au-delà de ce que j'aurais pu espéré, imaginer et même rêver.
Je suis fan et je m'incline devant ta plume M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 2727266699

Tu me fais crever de jalousie dès que je te lis et je m'améliore à ton contact.

Bref, non, je ne suis pas aussi subjective que tu peux le penser.
Mais, oui, je le suis quand je dis que je t'adore et que je t'aime Mon Lapinou chouchou namoi M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 692344990

Have fun M - Alexandre de Habsbourg - Un gamin béni des dieux 3631237226
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